Où en sommes-nous ?

Le débat paraît ancien, voire dépassé : Les Organismes Génétiquement Modifiés, on a dit NON il y a vingt ans.

Alors pourquoi en reparler ?

La définition européenne d’un OGM est : « Organisme, à l’exception des être humains, dont le matériel génétique a été modifié d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle. » (Directive 2001/18)
Cela englobe plusieurs techniques de modification: la Transgenèse, mais pas seulement.

Les OGM les plus répandus sont le Soja, le Maïs, le Coton et le Colza.

Ils représentent 98 % ds OGM transgéniques cultivés dans le monde.
85 % des OGM transgéniques sont produits en Amérique du Nord et Latine, principalement par les Etats-Unis, le Brésil, l’Argentine et le Canada. L’Amérique Latine est complètement contaminée par les OGM : en Uruguay et au Paraguay 100 % du soja est transgénique. Sans oublier les maladies ds populations proches des champs où le soja transgénique est cultivé.
Sur le coton, on trouve la Chine et l’Inde (95 % des surfaces de coton sont en OGM). Sans oublier le suicides des cultivateurs de coton, un autre problème provoqué par les OGM.
Au total, 28 pays cultivent des OGM, dont certains sur de très petites surfaces, comme le Bangladesh qui cultive quelques centaines d’hectares d’aubergines transgéniques.

Historiquement, c’est la recherche publique qui a mis au oint les OGM dans les années 1980, Mais ce sont depuis longtemps les semenciers privés qui gèrent la question : Bayer-Monsanto, Syngenta-ChemChina, Dow-Dupond. Ce sont des chimistes, les mêmes qui ont mis sur le marché les herbicides et les pesticides.

Comment savoir si je mange des OGM ?
Il existe plusieurs législations au niveau mondial. L’Union Européenne dispose de la plus intéressante : tous les végétaux transgéniques doivent être étiquetés.L’UE ne produit pas d’OGM mais elle en import, principalement le soja et le coton. Le soja importé sert à nourrir le bétail. Un éleveur peut savoir qu’il nourrit son bétail avec un soja transgénique, mais pas le consommateur puisque le loi européenne exempte d’étiquetage les produits issus d’animaux nourris aux OGM.

On en mange donc pas directement de soja transgénique, mais on le consomme à travers les animaux ! Une autre grande exception, est la restauration collective, à laquelle l’Europe n’impose aucun devoir de transparence.

Comment justifier ces exemptions d’étiquetage ?
Si le consommateur voit marqué OGM, il boycotte !
En Europe on a fixé un seuil de tolérance à 0,9 %par ingrédient, quel que soit le poids de cet ingrédient dans la composition du produit. Et depuis la mise en place de l’étiquetage pour les végétaux on ne retrouve quasiment plus de tels produits dans les étals…..

Mais la viande issue d’animaux aux OGM reste très largement rependue incognito.

Un aliment bio, est-il forcement sans OGM ?
OUI : la philosophie de l’agriculture bio est contraire à celle des biotechnologies. Il existe une tolérance de 0,9 % par ingrédient qui a été récemment rajoutée au règlement bio. Elle a été réclamée par la filière bio canadienne, confrontée à des problèmes de contamination sur le colza.

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La cuisine 

Priorité aux produits non transformés et bios !
Pesticides, métaux lourds, bisphénol A, phtalates, additifs, conservateurs et arômes artificiels contaminent de nombreux aliments.
Or, ces substances chimiques exposent les consommateurs à des intoxications chroniques par des contacts répétés et croisées, facteurs potentiels de cancers, maladies neurodégénératives, respiratoires ou métaboliques et d’infertilité.

Les Bonnes attitudes

Limiter les apports en additifs en consommant des produits bruts, frais, le moins transformé possible.
• Car les sols sont plus contrôlés en agriculture biologique qu’en agriculture conventionnelle ; privilégier le bio pour tout, dans tous les cas pour tout ce qui ne s’épluche pas et bien éplucher le reste, en particulier les pommes, les poires et les pêches…
3,77 résidus de pesticides en moyenne dans 31 échantillons de salades testées et même du DDT dans 2 d’entre elles.
Ne pas manger le gras de la viande et peu de charcuterie et de poissons carnassiers, aliments les plus contaminés par les dioxines, PCB et métaux.

Ustensiles et emballages : sus aux plastiques !
Le plastique des récipients, ustensiles et emballages peut renfermer du bisphénol A (BPA), des phtalates, de la mélamine ou du formaldéhyde, PE qui peuvent migrer vers les aliments sous l’effet de la chaleur.
Le polytétrafluoroéthylène (PTFE) et l’acide perfluoro-octanoïque (PFOA) dans le revêtement antiadhésif des poêles et casseroles sont toxiques à forte chaleur.
Méfiance également vis-à-vis des moules en silicone, à la composition mal connue.
L’aluminium est suspecté de nuire au système neurologique et de provoquer des inflammations intestinales. En présence d’aliment acide ou salés, les contenants en alu peuvent en relâcher des quantités non négligeables.

Les Bonnes attitudes

Ne pas chauffer les plastiques alimentaires, en particulier au micro-onde, y compris les étirables qui ne doivent pas rentrer en contacte avec les corps gras.
Bannir les aliments ayant longtemps séjourné dans du plastique, des boîtes de conserves et des canettes tapissées d’epoxy pouvant contenir du bisphénol A.
Eviter les plastiques marqués d’un triangle en relief avec le chiffre 7, 6 ou 3.
Conserver les aliments nature ou cuisinés, dans des récipients en verre, céramique, en fonte ou en inox.
Privilégier les poêles et casseroles sans revêtement antiadhésif, quitte à cuisiner avec un filet d’huile.
Eviter la cuisson d’aliments très acides ou salés dans des récipients ou du papier à base d’aluminium.
Eviter le papier de cuisson enduit de silicone.

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L’Ovo-lacto végétarisme permet de manger des œufs, des produits laitiers et des végétaux.

Le Végétarisme consiste à exclure la chair animale (viandes et poisson) de son alimentation.

Le Pesco-végétarisme supprime la consommation de viande, mais autorise la chair des poissons, ds crustacés et des mollusques, en privilégiant une production et un élevage respectueux.

Le Flexitarisme autorise occasionnellement de la viande ou du poisson en privilégiant des modes de productions et d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.

Le Végétalisme interdit l’ensemble des produits d’origine animale, la chair mais aussi les produits de l’animal comme les œufs, les produits laitiers et le miel…….

Le Véganisme repose sur un choix de vie qui refuse la souffrance et l’exploitation animale, dans l’alimentation, mais aussi dans la consommation de produits vestimentaires, cosmétiques et les loisirs.

Le Macrobiotisme quant à lui, est fondé sur une alimentation frugale à base de céréales et d’un équilibre entre le Yin et le Yang.

Le Crudivorisme ou alimentation vivante consiste à se nourrir exclusivement d’aliments crus ou cuit à très basse température.

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Petits gestes pour grands changements dans ma cuisine……

Ces petits riens qui changent tout, pour la planète mais aussi pour votre budget et votre santé.

Ne plus acheter de bouteilles d’eau
Le saviez-vous ? Il faut 1,5 litre d’eau pour fabriquer une bouteille en plastique de 1 litre, soit une consommation de 2,5 litres d’eau au total !
On zappe cet achat inutile et on passe à l’eau du robinet, filtrée avec un filtre à osmose inverse ou à défaut une carafe filtrante.

Conserver ses aliments dans des bocaux en verre
En plus d’être esthétique et saine, cette solution permet de limiter sa consommation d’emballages en passant à l’achat en vrac.

Mieux gérer ses déchets
Pour cela, pas de secret mais deux étapes à suivre :
1- Bien respecter les règles du tri sélectif
2- Investir, quand c’est possible, dans un composteur. Il existe même des modèles de cuisine !

Arrêter les Essuie-tout et les serviettes en papier
Essuie-tout et serviettes en papiers sont dans la liste des habitudes de consommation purement marketing et aussi mauvaise pour la planète que pour le budget de la famille. Car quoi de mieux pour essuyer qu’une éponge ou un tawashi.
Pour le ménage et les repas, on revient aux bonnes vieilles habitudes en utilisant des torchons et des serviettes en tissu.

Faire son propre produit vaisselle
Ce n’est pas si compliqué que cela ! (500ml d’eau chaude, 2 ou 3 cuillères à soupe de savon noir, 20g d’huile essentielle de citron, 2 cuillères à soupe de cristaux de soude et 2 cuillères à soupe de vinaigre blanc)

Remplacer son éponge par un tawashi
Cette éponge japonaise peut être fabriquée à base de tissus recyclés et lavée en machine.

Troquer son détergent habituel pour une recette plus naturelle
Le bicarbonate de soude, le vinaigre blanc et le savon noir : un trio capable à lui seul de nettoyer efficacement toute la cuisine, du frigo au carrelage en passant par le lavabo. Votre santé et votre porte-monnaie vous remercieront.

Voici de bonnes résolutions à mettre en place au cours de l’été.

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L’Amande

Histoire :
Fruit de l’amandier, arbre qui serait originaire d’Asie et d’Afrique du Nord, l’Amande est appréciée depuis la plus haute Antiquité. Des vestiges datant du temps des Assyriens et de la Perse ancienne démontrent l’existence de la culture de l’amande. On la mentionne dans les écrits anciens, notamment la Bible. Il semble que les Grecs furent les premiers à la cultiver ; les Romains nommeront d’ailleurs l’amande la « noix grecque ». Elle servait autant à des fins alimentaires que médicales.
L’amandier mesure généralement de 6 à 9 mètres de haut. Très sensible au froid, il pousse dans les régions au climat méditerranéen. Il est cultivé en Europe, mais aussi en Amérique du Sud, en Californie et en Australie.
L’amande est composée d’une graine ovale (amande) de couleur blanchâtre. Cette graine, recouverte d’une mince pellicule brunâtre, est nichée dans une coque plus ou moins dure selon les variétés. Cette coque est couverte d’une enveloppe fibreuse et coriace (le brou), de couleur verte, qui éclate à maturité. Habituellement seule dans sa coque, l’amande peut avoir une sœur jumelle, on parle alors d’amandes philippines.
Les amandes se divisent en 2 groupes :
L’amande amère, qui sert à faire une huile incolore ou des liqueurs, telle l’amaretto.
L’amande douce, que l’on consomme habituellement séchée, mais elle est comestible fraîche lorsqu’elle est de couleur verte et que sa coque est ferme mais encore tendre.

Utilisation :
La saveur douce de l’amande va avec presque tous les aliments……..sucré ou salé.
L’amande est un encas idéal : une poignée d’amande quand on a un petit creux en milieu de journée vous rassasiera et comblera vos besoins journaliers en calcium.

Conservation :
6 mois au réfrigérateur si elles sont décortiquées.
Elles se congèlent très bien.

Valeur nutritive :
Les matières grasses de l’amande sont composées à 86 % d’acides non saturés.
C’est une excellente source de magnésium et potassium et une bonne source de phosphore, calcium, zinc, cuivre, fer…..

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J’aime bien travailler avec les livres de S. Sellam sur moi et sur certains de mes clients ; on fait des découvertes passionnantes…….. vous pouvez faire une grande partie du travail seul en lisant le livre et en mettant en pratique les explications…… ensuite quelques entrevues avec un professionnel permettront de délier les fils invisibles les plus sensibles.

Voici de quoi parle le livre :

Coup de foudre avec ou sans électricité, amours fous, âmes sœurs, attirances, répulsions, séparations, divorces, relations plus ou moins tumultueuses, adultères, dynamique complémentaire dans le couple, diminution de la fréquence des rapports sexuels : voici les motifs de consultation qui ont conduit à la mise en évidence de la Psychologie Transgénérationnelle.

La psychologie transgénérationnelle est une découverte empirique issue de la recherche clinique et vérifiée par une multitude de cas dont certains exposés dans cet ouvrage. Cette nouvelle manière pratique d’aborder la dynamique psychologique en chacun de nous permet de voir beaucoup plus simplement le fonctionnement de l’inconscient, mis à la portée de tous, tant particuliers que praticiens. Comme elle le fait déjà, elle va sans doute révolutionner la psychologie et la rendre plus abordable. Dans cet ouvrage, l’auteur vous propose une méthode simple et rapidement applicable à votre histoire.

Ainsi, par une simple comparaison des prénoms et des dates inscrites sur l’arbre généalogique, elle met en évidence la place inconsciente de l’adulte/ex-enfant au sein de sa famille. Elle permet ainsi de cibler rapidement ses propres identifications parentales infantiles à l’origine de la constitution de son  » cahier des charges de reconnaissance amoureuse» représentant la base des futures rencontres avec ses partenaires. Dans de nombreux cas, un inceste symbolique s’installe progressivement et se traduit par une diminution, voire une raréfaction des rapports affectifs et… sexuels pouvant expliquer certains désordres amoureux.

 

Salomon Sellam est docteur en médecine, psychosomaticien et chercheur clinicien. Il est également formateur et conférencier en France et à l’Etranger. Il est l’auteur du « Syndrome du Gisant ».

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Les pièces à vivre

La respiration, voie d’entrée des polluants
Formaldéhyde, solvants et phtalates colonisent les matériaux e construction et de rénovation, les meubles neufs, notamment en aggloméré, les colles, peintures et vernis, les moquettes…..

Les bonnes attitudes

Remplacer les produits d’entretien ou de bricolage industriels par des produits écolabelisés (NF environnement ou Ecolabel) et des produits naturels : vinaigre blanc, citron, savon noir, bicarbonate de soude, ….
Bannir les lingettes nocives pour la peau utilisées à main nue et chargée de composés organiques volatils. Recourir à l’eau de Javel seulement contre les traces de moisissures.
Nettoyer, bricoler et jardiner avec des gants.
Aérer tout meuble neuf à l’extérieur du logement avant de l’installer.
Laver les vêtements neufs avant de les porter. Opter pour des vêtements bio et ceux ne portant pas les mentions « anti » tache, feu, acariens, pluie …..et utiliser des lessives les plus naturelles possibles.

D’où l’importance d’utiliser le moins possible
de produits chimiques d’entretien ou de bricolage.

Aérer pour chasser les toxiques
Les sources de pollution de l’air sont multiples. Les matériaux d’isolation, décoration et ameublement dégagent des toxiques, ainsi que les produits ménagers et de bricolage.
L’air intérieur est donc plus pollué que l’air extérieur. 25 % des logements ont ainsi des taux de composés organiques volatils dix fois plus élevés qu’à l’extérieur.

Les bonnes attitudes

Aérer le logement et le lieu de travail tôt le matin et tard le soir.
Oublier désodorisants, bougies parfumées, diffuseurs électriques, encens, huile essentielles diffusées à chaud et vaporisateurs, chargés de produits toxiques.
Préférer les peintures bios ou à la chaux, les papiers peints sans phtalates ni PVC.
Ne pas séjourner dans une pièce fraîchement repeinte, papiétée, une moquette ou un parquet neuf.
Agrémenter les pièces à vivre de plantes même si leur action dépolluante n’est pas scientifiquement prouvée.
Ne pas utiliser de sèche-linge qui dispersent dans la pièce les produits toxiques de l’assouplissant.

 

Se protéger des ondes
Les téléphones mobiles, wifi des ordinateurs, tablettes …….. nous font baigner dans un flot d’ondes électromagnétiques.
Nous manquons de recul pour évaluer les effets à long terme du danger des ondes et de leur impact sur la santé.

Les bonnes attitudes

Utiliser le kit-main libre ou le haut-parleur.
Mettre le portable en mode avion pour utiliser certaines applications comme le réveil.
Eviter de téléphoner dans les transports, car la puissance des émissions augmente fortement.
Porter le téléphone le moins possible sur soi, même en veille.
Choisir un téléphone avec un débit d’absorption spécifique le plus bas possible.
Proscrire le wifi et le mobile dans les chambres.
Utiliser l’internet par câble aussi souvent que possible.
 

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Il n’y a pas lieu de s’inquiéter, seul compte un bon équilibre alimentaire.

L’homme est omnivore et peut manger de tout, sans excès. Aucun aliment n’est indispensable ! Ils peuvent tous être remplacé par d’autres aliments.
La viande n’est pas l’unique aliment renfermant des protéines, le poisson et les œufs sont de très bonnes sources de protéines animales, ainsi que les produits laitiers.
Les légumineuses sont la meilleure source végétale, mais il y a aussi des protéines dans les orties et les champignons, par exemple !
La viande n’est pas non plus le seul aliment du plat de résistance, il est accompagné de légumes et de légumineuses ou céréales.

Le régime végétalien est déconseillé, car on s’expose à ces âges à de forts carence en fer, zinc, calcium, oméga3 et vitamine B12.

Age par âge, comment doser ?
De 1 à 3 ans

Les besoins en fer et en protéines sont très élevés en raison de la croissance. Il faut donner 30 à 50 g de viande par jour.

De 4 à 12 ans
100 à 120 g de viande, 4 à 5 fois par semaine……. Alterner lapin, veau, agneau, canard, poulet, œufs…..

A l’adolescence
Les garçons ont besoin de plus de protéines que les filles, mais elles ont plus besoin de fer !
Pour un garçon 120 à 150 g de protéines par jour en alternant les sources animales et végétales.
Pour les filles 120 g de protéines par jour en alternant les sources animales et végétales.

Il ne faut pas se forcer à manger de la viande et surtout de la viande rouge si l’on n’en a pas envie, que cela soit par goût ou par conviction, mais il faut manger équilibrer et s’assurer d’avoir un apport suffisant en protéines de qualité et en fer.

Le repas doit rester un moment de partage et de plaisir !

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Quelques jours pour dérouiller naturellement……..

Ceci n’est pas un régime, mais une hygiène de vie à pratiquer le plus souvent possible ou en cure de 15 jours plusieurs fois dans l’année.

Le matin au saut du lit :
– Boire un jus de citron avec de l’eau, sauf si vous avez des problèmes de digestion et que vous êtes frileux, alors buvez un verre d’eau chaude
– Faire des étirements…….si vous n’êtes pas du matin, faites-les après le petit-déjeuner et votre toilette, pour donner le temps à votre corps de se réveiller.

Dans la journée :
Respirez en vous concentrant sur votre souffle pendant 3 à 5 minutes en ayant une expiration deux fois plus longue que l’inspiration. Effet anti-acidifiant sanguin et anti-stress musculaire.
Marchez 30 minutes par jour à l’extérieur
Mangez des plats qui contiennent beaucoup de légumes et du curcuma, l’épice anti-inflammatoire par excellence.

Le soir après le dîner :
Prendre un bain aux plantes ou aux huiles essentielles ou faire un soin local (friction, compresse….)
– Faire un exercice de respiration ou de relaxation, juste avant de vous coucher. Cela vous prendra 5 à 10 minutes qui vous permettront de vous endormir plus serein.

Consultez un Naturopathe afin de faire un bilan Acido-basique et de personnaliser les conseils : choix de l’alimentation alcalinisante, suggestion de compléments alimentaire ………..exercice physique….

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Les Aliments : des complices nutritionnels pour une bonne santé articulaire……

• Les Crucifères
Cette famille est composée des choux, radis et navets.
Ils sont riches en vitamines C et K, flavonoïdes, fibres et composés soufrés, les glucosinolates, qui stimulent les enzymes bloquant le processus inflammatoire et empêchent la destruction des cellules du cartilage.
Pour bénéficier au maximum de leurs bienfaits, mangez-en à votre menu 3 fois par semaine, crus de préférence, ou cuits al dente, à la vapeur ou dans un peu d’eau.

Le Citron
Ses flavonoïdes et ses vitamines, en particulier la C, en font un super-oxydant.
Le potassium est quant à lui un puissant alcalinisant, capable de remettre à niveau l’équilibre acido-basique de l’organisme.
Ce détoxifiant de l’organisme contribue au bon fonctionnement des articulations.
Boire le matin à jeun ou vers 17h un jus de citron tiède avec un peu d’eau diminue le taux d’acidité.

Les Fruits rouges
Cerises, framboises, cassis, myrtilles, grenades, canneberges, fraises et raisins sont de véritables concentrés d’anti-oxydants, contenant des polyphénols, du bêta-carotène, de la vitamine C et des minéraux variés.
Leurs tanins et les pigments sont anti-inflammatoires. A consommer frais ou surgelés et crus pour garder la vitamine C, et bio car fraises, framboises et cerises font partie des petits fruits les plus contaminés en pesticides.

• Les Alliacés
Grâce à leurs composés soufrés, ail, oignon, échalote, ciboule et ciboulette ou poireau jouent un rôle anti-inflammatoire avéré.
Pour une efficacité optimale, hacher, broyer l’ail avant la cuisson, et le laisser reposer dix minutes pour favoriser ses réactions chimiques.
On peut aussi les consommer cru.

Le Curcuma
Ce puissant anti-inflammatoire et antioxydant contient de la curcumine qui inhibe une enzyme pro-inflammatoire.
Pour potentialiser ses effets, il faut toujours le consommer en association avec un peu d’huile et du poivre noir ou du gingembre pour améliorer sa biodisponibilité dans le tube digestif.

Les Huiles de premières pression à froid
Huile de colza, lin, cameline ou chanvre, toujours utilisées froides, sont les principales sources végétales d’oméga-3, ces acides gras essentiels qui contrebalancent les effets pro-inflammatoire de nombreux autres aliments ou huiles.

L’huile d’olive, riche en acide gras mono-insaturés est un allié du système cardio-vasculaire grâce à ses antioxydants aux effets antalgiques et qui aide à bloquer les enzymes impliqués dans l’inflammation. On ne la fait pas chauffer à plus de 200°C.

• Les Grains entiers de céréales
Riz brun ou complet, avoine, quinoa ou millet et orge, céréales sans gluten et contenant des fibres, des vitamines B6 et B9et des protéines utiles contre l’inflammation à condition de les marier avec des légumineuses.

• Les Poissons gras
Riches en oméga-3, sélénium, zinc et vitamine D, maquereau, hareng, sardine, anchois, anguille, flétan et exceptionnellement thon et saumon péché protègent contre l’inflammation.
Cru ou cuits à la vapeur douce afin de préserver les oméga-3.

• Les Coquillages et Crustacés
Sources intéressantes de protéines, minéraux et oligo-éléments antioxydants, zinc et sélénium.

Et tout cela en Bio, afin de ne pas surcharger l’organisme avec des résidus de pesticides.

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