Le Shiitake

Histoire :
Champignon comestible qui pousse sur l’arbre shiiet qui peut être cultivé, le Shiitake est originaire d’Asie où il est connu depuis moins de deux millénaires. Il est parfois nommé champignon noir.
Plusieurs pays, dont la Chine, la Corée et le Japon, font la culture intensive du shiitake.
Ce champignon est d’ailleurs le second à être cultivé en importance après le champignon de couche. Au Japon, ce champignon est l’équivalent du champignon de couche occidental. Ce pays est un important exportateur et le terme japonais désignant ce champignon s’est imposé un peu partout à travers le monde.
Le shiitake est cultivé sur des bûches ds souches d’arbres morts ou sur de la sciure de bois. Il est convexe ou presque plat et comporte à l’occasion un petit renflement central ; il est surmonté d’un chapeau charnu brunâtre qui mesure généralement de 5 à 20 cm de diamètre. Les pieds sont plus ligneux que ceux de la plupart des autres champignons. Le moment de la cueillette est important car le chapeau du champignon cueilli trop tard est fendu et il a perdu ses spores, ce qui donne un shiitake plat, mince et peu savoureux.

Utilisation :
Le shiitake est utilisé pour la consommation ainsi que pour divers usages thérapeutiques.
Sa chair blanche et légèrement acide mais agréable et son odeur est plus prononcée lorsqu’il est déshydraté. Il absorbe la saveur des mets auxquels on l’ajoute. Il est délicieux dans les soupes, le riz, les ragoûts, et les mets cuits à l’orientale.
Il faut cuire shiitake afin de bénéficier de leurs vertus.
En Asie le shiitake est utilisé pour traiter l’hypertension, la grippe, les tumeurs, les ulcères d’estomac, le diabète, l’anémie, l’obésité, les calculs biliaires ; il est aussi immunostimulant.

Conservation :
Ils sont un peu moins fragiles que les autres champignons.
Conservés au réfrigérateur, sans les nettoyer, dans un sac de papier, ils se garderont au moins une semaine.

Valeur nutritive :
Il est une bonne source de potassium.

 

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Bien profiter de la saison des champignons

Il est temps de préparer vos paniers !
Présents dans les sous-bois, forêts et prairies, les chanterelles, trompettes-de-la-mort, pied-de-mouton, cèpes, et autres bolets se dégustent en saison automnale.

Certains champignons deviennent « tendance » telles le chaga, le reishi, ou le cordyceps…..
Ni plante, ni animaux, les champignons constituent une règne à part entière, celui des Fungi.

Les bienfaits des champignons cultivés ou ramassés
• Peu caloriques, car composés de 80 à 90 % d’eau.
• Riches en Vitamines B et D, oligoéléments et protéines : sauvages ou de culture, les champignons apportent de nombreux bénéfices nutritionnels.
• Ils stimulent le système immunitaire car ils contiennent du sélénium, du zinc, du cuivre et du fer.
• Ils facilitent la digestion car ils ont riche en fibre, ce qui facilite le transit et ils sont également une source de prébiotiques qui contribue à nourrir les bactéries commensales.

Mais attention aux métaux lourds, éviter les sites pollués (bords des routes, décharges, sites industriels…….)
et aux intoxications ! Par principe, on ne ramasse que les champignons que l’on connaît.

En tant que Naturopathe, je vous conseille fortement de ne manger des champignons ramassés qu’une fois par semaine et de bien les laissez tremper avant de les faire cuire afin de les débarrasser des métaux toxiques ou radioactifs.

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La Périlla ou Shiso

La Périlla ou Shiso
Perilla frutescens var. crispa

Histoire :
La périlla nommée aussi pérille aromatique ou Pérille de Nankin ou Shiso en Japonais, est une plante annuelle originaire d’Asie du Sud-Est.
De la famille des lamiacées, elle pousse à l’état sauvage mais également en pot sur les balcons en Europe.
Cultivée en Chine et au Japon depuis l’Antiquité, elle y est utilisée pour ses vertus antibactériennes, notamment pour neutraliser la toxicité de certains poissons et aseptiser la viande.
Sa feuille fraîche, verte ou pourpre, est d’une saveur proche du basilic et de la menthe.
Elle produit des graines oléagineuses qui, pressées à froid, fournissent de l’huile.
Les feuilles fraîches de périlla se consomment comme des fines herbes.

Valeur nutritive :
Sa feuille est riche en huiles essentielles, en polyphénols et flavonoïdes.
Les feuilles fraîches de périlla se consomment comme des fines herbes.
Ses graines permettent d’obtenir une huile riche en omega-3 qui ne rancit pas grâce à la vitamine E qui la stabilise.
La plante entière bénéficie d’une valeur de capacité d’absorption des radicaux oxygénés très élevée.

Les bienfaits de l’huile de périlla :
• Grace à son action anti-inflammatoire, l’huile de périlla assure une bonne protection cardio-vasculaire, hépatique et neuronale.
• La synergie huile végétale et huile essentielle de la périlla apaise l’asthme, les rhinites ou conjonctivites allergiques et les dermites atopiques.

Usage thérapeutique :
• Tous les allergiques, en prévention des pollens de printemps, dès 12 ans en cure de 3 mois.

Contre-indication :
Ne pas prendre sous forme de suppléments en cas de prise d’anticoagulants.
L’huile essentielle est déconseillée chez la femme enceinte et chez l’enfant.

 

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L’Abricot

Histoire :
Fruit de l’abricotier, arbre originaire de Chine. Les Occidentaux ont d’abord cru que l’abricotier provenait d’Arménie et ils le nommèrent Prunus armeniaca. Longtemps, ils crurent que cet arbre produisait des fruits maudits qui provoquaient la fièvre. Il semble qu’Alexandre le Grand l’introduisit en Occident ; les Arabes le rependirent en Méditerranée.
Le mot « abricot » est dérivé de l’arabe d’Espagne al barquq qui signifie « précoce », et ce, parce que l’abricot fleurit très tôt au printemps.
L’abricotier a des feuilles caduques, et il peut atteindre 10 mètres ; il produit de magnifiques fleurs odorantes qui ont la curieuse caractéristique d’être fixées directement sur le tronc et les branches.
Il existe plus de 40 variétés d’abricot dont la plupart poussent sous les climats chauds. Les producteurs les plus importants sont la Turquie, l’Italie et la Russie.
La peau comestible de l’abricot est légèrement duveteuse, sauf à maturité où elle devient lisse.
La tendre chair orangée est sucrée et très parfumée. Ce fruit délicat est cependant souvent cueilli avant d’atteindre sa pleine maturité, afin qu’il puisse supporter le transport et les délais de la mise en marché ; sa chair est alors souvent farineuse et moins savoureuse.

Utilisation :
Choisir des abricots intacts, ni trop fermes,ni trop mous, sans taches blanchâtres, gerçures ou meurtrissures.
L’abricot est délicieux nature, tel quel ou en salade de fruit.
Il est souvent cuit en confiture ou chutney, transformé en compote ou jus. On le met dans les tartes, gâteaux, sorbets,…….
Il est déshydraté et séché.

Conservation :
Manipuler les abricots avec soin, car ils s’endommagent rapidement s’ils sont meurtris.
Les laver uniquement avant de les utiliser car ils pourrissent rapidement.
Laisser le mûrir à la température de la pièce et placer l’abricot m au réfrigérateur, il se conservera environ une semaine.
Les abricots se congèlent facilement. Les blanchir 30 secondes afin de pouvoir les peler et les dénoyauter car le noyau donne un goût amer.
A choisir déshydraté sans sulfite donc bio et marron !

Valeur nutritive :
L’abricot est très riche en vitamine A, riche en potassium, magnésium, cuivre et fer.
Plus riche déshydraté que frais.
Riche ne fibre il accélère le transit avec ses fibres douces.

 

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L’Aubergine

Histoire :
Fruit d’une plante originaire de l’ Inde, l’aubergine est une baie consommée comme légume, connue en Asie depuis plus de 2500 ans. Elle était cultivée en Chine à cette époque ; Les Arabes et les Perses l’auraient rapportée en Afrique avant le Moyen-Age.
Au XIVe siècle, elle fut introduite en Italie par l’Afrique. Les Européens apprécièrent d’abord pour ses qualités ornementales, car les premières variétés «étaient très amères, et ils croyaient qu’elle provoquait la folie.
La culture et les croisements de l’aubergine permirent d’en améliorer la saveur. Aujourd’hui, l’aubergine est cultivée principalement en Chine, en Turquie, au Japon, en Egypte et en Italie.
Il existe plusieurs variétés d’aubergines. La plupart préfèrent les climats chauds, mais certains se sont adaptés aux climats tempérés. La variété la plus connue, tant en Amérique du Nord qu’en Europe, est l’aubergine pourpre foncé de forme allongée et ressemblant à une grosse poire. Elle croît sur une plante qui peut atteindre 1 mètre et qui produit de magnifiques fleurs bleu-violet.
Plusieurs autres variétés sont maintenant disponibles ; elles sont souvent regroupées sous la catégorie d’aubergines orientales ; ces aubergines peuvent être aussi petites qu’un œuf, être longues et effilées ou même avoir l’aspect d’une grappe de raisins.
La peau luisante, lisse et mince est pourpre foncée, lavande, crème, blanche, vert et orange ; cette peau est comestible tout en ayant un goût amer dans certaines variétés.
La chair d’un blanc jaunâtre est spongieuse et contient de petites graines brunâtres, comestibles. Une aubergine qui est jeune ou petite contiendra moins de graines et aura une peau plus tendre et moins amère.

Utilisation :
Rechercher une aubergine ferme et lourde, la peau lisse et de couleur uniforme.
L’aubergine est délicieuse chaude ou froide : farcie, en purée, en brochette, grillée……
Elle se consomme toujours cuite sauf certaines variétés orientales qui se mangent crues, en salade.
La chair de l’aubergine noircit rapidement lorsqu’elle est coupée, aussi est-il préférable de l’apprêter sans délai.

Aubergine allongée                      blanche               thaïlandaise               ronde

 

Conservation :
Pour vérifier si l’aubergine est mûre exercer une légère pression sur les côtés avec les doigts : si l’empreinte demeure visible, l’aubergine est à point.
Elle doit être manipulée avec soin, car elle se meurtrit facilement.
Elle se conserve au frigo environ une semaine dans un sac plastique perforé.

Valeur nutritive :
L’aubergine est une bonne source de potassium et elle contient de l’acide folique, du cuivre, de la vitamine B6 et du magnésium.
Elle est diurétique et laxative grâce à ses fibres.
Elle est aussi peu calorique.

 

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Le Chou frisé

Histoire :
Plante potagère dont les premières cultures auraient eu lieu dans les régions méditerranéennes.
On l’appelait alors « chou » bien avant que la variété pommée n’existe. Le chou frisé ou kale était une culture importante du temps des Romains, il y a 2500 ans avant d’être oublié.
Il devient un aliment de base chez les paysans au Moyen-Age et fut apporté aux Etats-Unis par les Anglais au XVIIe siècle.
Le chou frisé est l’un des plus résistants de la famille des choux ; il peut supporter des températures aussi basses que -15°C mais il ne supporte pas des températures élevées. Parce qu’il résiste au froid et qu’il pousse facilement, le chou frisé fut longtemps un légume d’hiver fort prisé, particulièrement en Ecosse, en Allemagne, en Hollande et en Scandinavie.
Aujourd’hui, on le consomme un peu partout dans le monde.
Le chou frisé a de grandes feuilles fibreuses, très frisées, de saveur prononcée. Leur couleur varie du vert pâme au vert foncé, parfois même au vert bleuté. Ces feuilles ne sont pas pommées, caractéristique exprimée par le mot latin qu décrit cette variété de chou acephala et sui signifie « sans tête ». Ces feuilles surmontent de fines tiges blanchâtres très fibreuse, pouvant mesurer de 30 à 40 cm.
Le chou frisé est tellement décoratif qu’on en a développé des variétés ornementales.

Utilisation :
Soupe et ragoûts, gratiné ou en purée telle quelle ou ajouté à des pommes de terre.
Cru en petite quantité dans la salade.

Conservation :
Placer le chou frisé bien serrés plutôt qu’écartées au réfrigérateur sans le laver, dans un sac de plastic perforé.
Il peut se conserver ainsi de 5 à 10 jours, mais il est moins amer lorsqu’il est consommé rapidement.

Valeur nutritive :
Excellente source de vitamine C et A, de potassium.
Bonne source de vitamine B6, de cuivre, d’acide folique, calcium, fer, thiamine, zinc…..

 

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La Courge – La Courgette

Histoire :
Fruit d’une plante potagère annuelle apparentée au melon et au concombre, qui croît d’une façon identique, et dont il existe une très grande variété.

Les ancêtres des courges, les courges sauvages, semblent être originaires d’Amérique centrale, entre le Mexique et le Guatemala ; leur culture s’est répandue jusqu’en Amérique du Nord et du Sud.
Les courges sont consommées depuis 10 000 ans ; les Indiens cultivaient la courge pour ses graines, car elle contenait alors très peu de chair. A travers les siècles, des variétés ayant plus de chair et une saveur plus fruité ont été développées, et elles étaient cultivées avec le maïs et les fèves par les Aztèques, les Incas et les Mayas, peuples de l’Amérique latine. Christophe Colomb fut le premier occidental à connaître ces fruits. Peu après la découverte de l’Amérique, la culture des courges et des citrouilles a été introduite en Europe.
Certaines courges comme la Mammouth peut peser plus de 65 kg.
Les courges et les courgettes sont des fruits car ils poussent à partir d’une fleur !

Courgette
Courge moelle

 

Courge à cou tors

 

 

La plupart des courges sont regroupées en deux grandes catégories : les courges d’été et les courges d’hiver. Cette classification repose sur la durée de conservation des courges ; les courges d’été se conservent peu de temps alors que les courges d’hiver se conservent une bonne partie de l’hiver,
Aujourd’hui, les courges et les citrouilles sont cultivées principalement en Chine, Roumanie, Egypte, argentine, Turquie, Italie et au Japon.

Courges d’été : La courgette, la courge à moelle, la courge à cou tors ou courge torticolis et la courge à cou droit, le pâtisson.

Les courges d’hiver : La courge musquée, la courge Hubbard, le giraumon turban, la courge buttercup, le courgeron ou courge poivrée, la courge banane, la Mammouth, la citrouille et le potiron.

Sweet Dumpling         Mammouth        Courge à cou droit Courgeron       Pâtisson
Courge spaghetti

La courge spaghetti se distingue ds autres courges par sa chair qui ressemble à des spaghetti lorsqu’on la sépare avec une fourchette après la cuisson. Elle mesure de 20 à 35 cm de long et pèse environ 2 kg. Sa peau blanchâtre ou jaunâtre est lisse et moyennement dure. Sa chair d’un jaune pâle, tirant parfois sur le vert, a une saveur comparable à celle des courges d’été.

Utilisation :
Les courges d’été se consomment crues ou cuites.

Les courges d’hiver ou la courge spaghetti se consomment cuites et gagnent à être bien assaisonnées.
Les fleurs de courge et de courgettes sont comestibles en soupes, beignets, crêpes, omelettes, riz, fruits de mer, volaille…..

Conservation :
Manipuler les courges d’été avec soin, car elles s’abîment facilement. Les placer dans un sac plastique perforé et les réfrigérer, elles se conserveront environ une semaine. Les laver au moment de les utiliser.
Les courges d’hiver se conservent entre 1 semaine et 6 mois à l’abri du froid, de la chaleur et de la lumière. Ne les réfrigérer que si elles sont coupées ou cuites.

Valeur nutritive :
Les courges d’hiver cuites sont plus caloriques que les courges d’été car elles renferment plus de glucides ; elles sont une excellente source de potassium et de vitamine A ; elles contiennent de la vitamine C, de l’acide folique, de l’acide pantothénique et du cuivre.

Courge musquée

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La Maitake

Histoire :
Le Maitake de son nom scientifique Grifola frondosa, est un champignon basidiomycète de la famille des Meripilaceae.
Il pousse à l’état sauvage en Europe, en Asie et dans l’Est de l’Amérique du Nord.
Jusqu’à récemment, le maitake ne pouvait être cueilli qu’à l’état sauvage. Étant donné la grande valeur de ce champignon dans la pharmacopée orientale, il paraît que ceux qui en trouvaient « dansaient de joie » au moment de leur découverte.
A maturité, le maitake peut atteindre 50 cm de diamètre et peser jusqu’à plusieurs dizaines de kilos.
Depuis 1979, on sait comment le cultiver. Les Japonais en sont encore les principaux producteurs, et cette production ne cesse d’augmenter pour répondre aux demandes grandissantes du marché occidental.
Actuellement, l’essentiel de la production est réalisé au Japon, en Chine ainsi qu’aux États-Unis.
Les Européens considèrent les champignons comme des aliments fins. Pour leur part, les Orientaux leur ont toujours réservé une place de choix dans leurs pharmacopées traditionnelles.
Les chercheurs d’aujourd’hui concentrent leurs recherches sur les effets des polysaccharides du maitake. On pense que ces composés pourraient s’avérer utiles contre diverses maladies du système immunitaire, comme le sida et le syndrome de fatigue chronique, ou pour soutenir l’organisme pendant un traitement de chimiothérapie anticancéreuse.

Utilisation :
– En cuisine poêlé, préparé en omelette ou en salade (toujours cuit)
– Utilisé en Asie depuis des millénaires pour ses vertus toniques, ses propriétés adaptogènes et son action favorable sur la santé et la longévité, ce champignon compte parmi les piliers de la pharmacopée traditionnelle.
– Améliorer la résistance au stress, soutenir le système immunitaire, notamment en cas de cancer, abaisser la tension artérielle.

Conservation :
• Frais, quelques jours au réfrigérateur
• Sous forme de poudre ou d’extrait sec en capsules, en comprimés ou en gélules
• En ampoules également disponibles

Valeur nutritive :
riche en polysaccharides,
bonne sources de vitamines B1, B2, B3, B6, C, D et de l’acide folique ainsi que de minéraux comme le calcium, le fer, le potassium, le magnésium, le phosphore, des acides aminés
22 % de protéines

Très simple d’utilisation, le maitake fait partie des champignons qui ne présentent aucune contre-indication connue.

 

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Chaque année, un Français jette en moyenne 20 kg d’aliments……….

Diviser par 2 votre panier à provision
La meilleure façon de ne pas gaspiller, c’est d’acheter ce dont on a besoin ni plus, ni moins.
Je planifie mes repas pour la semaine ou pour plusieurs jours et je vais faire mes courses avec une liste !
Je privilégie les produits frais et ceux à la coupe, et surtout à la bonne quantité.

Bien ranger votre frigo
Je range mes achats après le marché.
Je glisse les produits nouvellement achetés derrière les plus anciens.
Je fais la même chose dans le congélateur et les placards.

• Tenter de nouvelles recettes
Je prends ce qui est à consommer et je cherche une recette pour les utiliser.
Je fais la même chose avant de faire les menus et ma liste de courses.

Tout se recycle
Epluchures, fanes, coquilles d’œufs, marc de café, croûtes de fromage……. filent direct dans mon bac à compost.
Je recycle l’eau de lavage des fruits et légumes pour arroser mes plantes ou le jardin !

• Congeler !
Rien ne se perd, tout se congèle………. dès qu’un aliment est proche de sa date de péremption, ou que j’ai cuisiné de bons petits plats en grandes quantité.
Il faut prendre soin de préparer des portions pour 2 personnes maximum.
Bien les emballer, avec le moins d’air possible et donc de bactéries, pour qu’ils se conservent plus longtemps.

 

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