Géode Améthyste

Il y a environ un an j’ai acheté une Géode en Améthyste, afin de nettoyer les pierres que j’ai et que je porte régulièrement.

L’Améthyste en Lithothérapie

La forme géode octroie à l’Améthyste un rayonnement très puissant dans la pièce ou elle se situe. La géode vous procurera détente et paix tout en purifiant l’atmosphère apportant harmonie dans le lieu ou elle se trouve.

Sur un plan spirituel l’Améthyste est la pierre de la sagesse et de l’humilité, elle favorise l’élévation spirituelle, la concentration et encourage à la méditation.

La Géode d’Améthyste stimulera l’imagination, la créativité et la sérénité.

L’Améthyste a le pouvoir de dissiper l’anxiété, les peurs et toutes les angoisses, elle est également recommandée pour les excès de colères et les soucis liées au domaine relationnel.

L’Améthyste est excellente pour la peau, elle atténue les douleurs et les tensions, elle apporte calme et sérénité.

L’Améthyste quartz tout comme l’Améthyste peut être placée dans une chambre sans aucun problèmes, elle permettra de passer de bonne nuit et de faire des rêves agréables. L’Améthyste incarne le pouvoir absolue de la divinité sur terre, son action se propage sur le corps physique, en passant par l’âme et jusque dans l’esprit. En plus de cela l’Améthyste n’enlève pas l’ancrage à la Terre au contraire elle pousse l’être humain à transmuter ses actions, ses pensées et ses passions pour servir l’humanité tout entière.

Chakra associé à l’Améthyste :
• Chakra Coronal

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QUELQUES FAITS

Les principales fonctions des lipides :

– une réserve d’énergie
– protection
– rôle structural dans les membranes cellulaires
– précurseurs de stéroïdes sexuels
– transporteurs de vitamines
– communication cellulaire
– régulateur de l’inflammation……

Le cholestérol ?

• 80 % du cholestérol est fabriqué par le corps
• 20 % du cholestérol vient de l’alimentation

Quels gras ne surtout pas manger ?

• Les gras « trans », attention danger ! Ils sont à bannir si l’on veut garder une bonne santé cardiovasculaire. Ce sont des gras hydrogénés que l’on retrouve dans les confiseries, les plats préparés, les pâtisseries…………industriels ainsi que les margarines. Ils feront augmenter le mauvais cholestérol.

Il y a des gras trans « naturel » dans les produits laitiers et la viande qui sont inoffensifs s’ils sont consommés en proportions raisonnables.

Les Lipides, nos amis pour la vie ?

L’apparition de l’agriculture et de l’élevage, a bouleversé le mode alimentaire ancestral de l’homme, et par là même son métabolisme.
La part des glucides est devenue progressivement prépondérante dans l’alimentation, au détriment des graisses et des végétaux. Cette tendance n’a cessé de s’amplifier au fil du temps.
Cependant, jusque dans les années 60-70, les conseils pour perdre du poids étaient de limiter drastiquement les « 4P » : pain, pâtes, pommes de terre, pâtisseries, en un mot, les glucides.

Puis le discours a changé ! On a commencé à accuser les lipides de nombreux maux…….

On s’est trompé d’ennemi, car on constate que la santé de la population n’a cessé de décliner depuis que les recommandations nutritionnelles conseillent de supprimer les lipides au profit des glucides.
On assiste aujourd’hui à une véritable explosion de maladies dites de civilisation : obésité, diabète, maladies cardiovasculaire, auto-immunes, neurodégénératives, sans oublier le cancer……

On ne parle pas assez les résultats positifs obtenus par les malades de cancer qui suivent la régime Cétogène ou Kéto qui privilégie les protéines et les graisses et évite tous les sucres (blanc, céréales, légumineuses….)

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L’Umeboshi ou prune salée

Histoire :

L’abricotier du Japon ou Umé est un arbre à feuilles caduc, qui fleuri à la toute fin de l’hiver dans son aire d’origine, en Extrême-Orient.
Il a longtemps été un arbre important ds cultures chinoise, coréenne et japonaise, pour lesquelles il symbolise l’élégance et le courage. La culture de l’espèce remonte à des milliers d’années et plus de 300 variétés ont été sélectionnées.
L’espèce a été introduite au Japon avec le bouddhisme au VIIe – VIIIe siècle.
Les fruits sont des drupes globuleuses de petite taille (de 2 à 3 cm de diamètre) à noyau adhérent. Ils sont marqués, d’un sillon allant du pédoncule à la pointe. Ils arrivent à maturité entre fin mai et fin juillet. Ils gardent une couleur verdâtre panachée de jaune, et sont assez acides et très peu sucrés, mais exhalent un parfum agréable.
Les umeboshi sont fabriquées avec des fruits frais arrivés à maturité. Après les avoir lavés et trempés quelques minutes dans l’eau froide (pour enlever l’amertume), on les essore et les essuie. On les place ensuite au fond d’un récipient et on les asperge ou on les vaporise d’un peu d’eau-de-vie. On verse ensuite dessus 200 grammes de sel par kilogramme de fruits, en malaxant soigneusement afin que le sel pénètre bien.
On peut les laisser nature ou leur adjoindre des feuilles de shiso rouge, car les vertus de l’umeboshi sont en grande partie dues à cet akajiso (pérille)
Après les avoir lavées à l’eau froide, on mélange les feuilles de shiso rouge au sel marin, puis on les dispose en couches alternées avec les prunes pour fermentation. Quand la lacto-fermentation est avancée, on peut les retirer et les faire sécher.

Utilisation :

• Les umeboshi sont habituellement mangées avec du riz. Une umeboshi est souvent placée au centre d’un lit de riz blanc, ce qui a en plus l’avantage esthétique de reproduire le drapeau du Japon.
• C’est aussi un ingrédient habituel dont on farcit les onigiri, ces boules de riz emballées dans des feuilles de nori.
• Le vinaigre d’umeboshi peut être utilisé comme tous les autres vinaigres.

Conservation :

En raison de leur forte teneur en sel, elles peuvent être conservées longtemps sans s’altérer.
Il est indispensable que les fruits soient bien pressés dans leur saumure. Entreposer le récipient dans un lieu frais et ombragé pendant quatre à cinq semaines

Valeur nutritive :

Antiseptique, fortifiant, minéralisant, car elle aide à absorber le calcuim, alcalinisant du sang, etc. On a identifié pas moins de 17 substances intéressantes : alpha-phellandrène, beta-pinène, citral, limonène, linalol, acide oléique, Pp-cymène…

 

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Le Lait, blancheur trompeuse ?

Quand quelque chose dérange une habitude,
on ne veut pas y croire…… et pourtant.

Comme les alcools, le tabac, les sucres raffinés, les graisses cuites, le lait d’animaux et leurs dérivés, même bio, sont des produits nocifs.

Le lait maternel correspond exactement à la constitution biologique de l’enfant et le lait de vache au veau !

Le code génétique du lait de vache est inadapté à l’humain. Les hormones contenues dans le lait de vache vont transmettre à l’hypophyse du veau des messages adaptés à cette espèce animale particulière et non à une autre……..comme peser 200kg à 6 mois.
Quand bien même serait malgré tout capable de s’adapter à cette désinformation, il le ferait au détriment d’autres fonction s’étalant sur la vie entière de l’individu et même sur des générations.

Une seule goutte de lait, même cachée dans un gâteau, suffit à dérégler le processus du métabolisme.

Du calcium inaccessible, car les protéines spécifiques contenues dans les laits animaux, ne sont pas adaptées à notre espèce. Les laits animaux décalcifient l’être humain (ostéoporose) et fait s’accumuler les sels minéraux dans les tissus et organes du corps créant indurations, kyste et calculs.

Des acides gras saturés à grosses molécules que le foie humain à du mal à digérer. Le lait de vache a la propriété de fixer des toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s’y ajouter par l’alimentation, d’ou les « colles » lors de grippes, angines……
Les graisses qui ne seront pas éliminées, seront absorbées dans l’intestin grêle et passeront dans le sang, ce qui est particulièrement nocif.

La grande quantité d ‘œstrogènes qui serait responsable du cancer du sein, du cancer de al prostate et de la baisse de la fertilité masculine………..et qui influence notre baisse génétique et énergétique.

L’ajout de produits chimiques et d’additifs, de farines……. dans l’alimentation des vaches, entre autre, pour stimuler la lactation, les inséminations artificielles, les antibiotiques et les vaccins……..la maltraitance animale.

Voilà de quoi réfléchir ….. et allez vérifier par vous-même ces informations en lisant : L’alimentation ou la 3ème médecine du Dr Jean Seignalet, le Lait de vache d’A. Laroche-de Rosa, le Lait, une sacrée vacherie du Dr N. Le Berre………

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Vous n’en avez probablement jamais entendu parlé et pourtant elle est très importante…..

La notion d’énergie vitale est totalement méconnue en diététique conventionnelle, pour laquelle seul existe ce qui est identifiable comme l’énumération des nutriments et mesurable c’est-à-dire les calories.
Pourtant, l’univers est régi par la dualité énergie-matière, mise en équation par A. Einstein.
L’agro-alimentaire et la diététique ont opté résolument pour la matière et raisonné en termes de quantité.
Mais se nourrir, c’est surtout apporter et renouveler l’énergie sans laquelle il n’y a pas de vie possible. Or, cette énergie d’origine alimentaire ne provient pas seulement de la combustion des nutriments-matière. Elle doit comporter aussi – essentiellement – une partie qualitative qui échappe aux analyses classiques.
Ces 2 aspects coexistent au sein d’un aliment, qui répond, lui aussi, fort logiquement à cette dualité.

Plusieurs chercheurs ont tenté de mesurer la vitalité donc les ondes électromagnétiques des aliments, d’abord à l’aide d’un pendule, puis à l’aide de « vitalimètre ». D’après André Simoneton : « Tout être humain bien portant émet des ondes aux alentours de 6200-7000 Å (ångström), longueur d’onde qui correspond à la couleur rouge du spectre solaire (……..) Chez des personnes malades ou des sujets soumis à des régimes alimentaires qui ne leur sont nullement favorables, nous avons toujours constaté des longueurs d’ondes inférieurs à 6500 Å (…..) Nos aliments, pour nous être profitables, doivent émettre des ondes au moins égales à la radiation de l’homme. C’est cette émission d’ondes que nous avons appelée la dynamisation. »

Il a classé les aliments de la façon suivante :

Aliments supérieurs 6500 à 10000 Å
– Fruits et légumes frais et mûrs sur pied
– Légumes crus et cuits à l’étouffé
– Germinations
– Céréales complètes
– Noix
– Graines
– Huile de 1erèpression à froid
– Œuf du jour
– Fruits séchés comme les figues et les dates
– Miel
– Sucre de canne complet
– Sel de mer gris
– Poissons de mer et crustacés surtout crus
– beurre très frais
– Crème et fromage non fermentés

Aliments de soutien 4000 à 6000 Å
– Légumes et fruits déshydratés
– Compotes de fruits fraîches
– Certains légumes cuits
– Viandes
– Huile
– Certains Vins
– Poissons de mer cuits
– Poissons de rivière
– Viande crue ou cuite « bleue »
– Lait frais (<12h)

Aliments inférieurs 100 à 3000 Å
– Légumes cuits dans l’eau
– Fruits trop mûrs
– Farines de plus de 5-6 mois
– Huiles non fraîches
– Sel gemme
– Viandes cuites
– Aliments défraîchis

Aliments morts 0 Å
– Conserves
– Farines de plus de 6 mois
– Margarine
– Huiles de poisson morts
– Fromages fermentés
– Abats
– Alcool
– Café, Thé
– Chocolats
– Sucres

et bien sur tout cela en Bio ! Ou encore mieux en Biodynamie (Demeter)

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Salle de Bain

C’est la terre d’élection des substances chimiques, en particulier des perturbateurs endocriniens (PE) et des sels d’aluminium. L’exposition régulière à plusieurs substances chimiques à la fois, « l’effet cocktail », est due au passage aisé dans l’organisme, via la peau, les lunules des ongles, le cuir chevelu et les gencives.

Les bonnes attitudes

  • Préférer le vrai savon de Marseille ou des savons faits naturellement avec des label bio. Eviter les gels douche ….
  • N’utilisez pas des gels anti-bactériens pour vous laver les mains au quotidien, car ils peuvent contenir du triclosan (PE).
  • Choisir des déodorants sans parabens, ni sels d’aluminium
  • Adopter le vernis à ongles bio
  • Utiliser des huiles, du karité ou des crèmes bio comme produits hydratants et démaquillants.
  • Eviter l’usage quotidien du parfum, de l’eau de toilette ou de la lotion après-rasage dans la mesure ou l’on ne connaît pas leur composition exacte ……les choisir bio.
  • Se brosser les dents avec du dentifrice bio …… si vous avez besoin de fluor, consulter un naturopathe, car il ne manque pas seulement au niveau des dents !

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Où allons-nous ?

Qu’appelle-t-on « Les Nouveaux OGM » ?

On connaît bien les OGM issus de la transgenèse, auxquels nous avons dit non dans les années 2000….
Nous avons parlé de la 1ère et de la 2ème exception, mais il y a une troisième exception: celle des micro-organismes.
Un certain nombre de substances sont produites à partir de levures ou de bactéries GM et échappent aujourd’hui à l’étiquetage.

Mais la transgenèse consiste à insérer une séquence d’ADN d’un être vivant dans un autre être vivant en s’affranchissant de la reproduction sexuée. Cette méthode a choqué l’opinion, car elle permet de franchir la barrière des espèces, de mettre du poisson dans les fraises.

Mais les tout premiers OGM sont des plantes issues d’une autre forme de manipulation, la mutagenèse. Or s’il n’existe qu’une seule transgenèse, il existe plusieurs mutagenèses.
Depuis les années 1930, on fait de la mutagenèse in vivo, c’est-à-dire sur des éléments vivants (plantes ou graines entières), au moyen de la radiation nucléaire ou de produits chimiques. En gros on prend une graine et on la bombarde d’agents mutants extérieurs. Cela ressemble un peu à ce que fait la nature dans le sens où c’est le génome entier de la graine qui va devoir s’adapter à une pression extérieure.
C’est non naturel, mais on utilise les mécanismes du vivant, c’est pourquoi cette forme de mutagenèse a été exemptée de la directive européenne de 2001, qui s’est concentrée sur les OGM transgéniques.

À l’époque, il y avait déjà plus de 3 000 variétés de plantes mutées répertoriées et le législateur trouvait trop compliqué de les évaluer, étiqueter, autoriser…...

Il a préféré les exempter en utilisant cette formule : « il y a une historicité d’utilisation sans risque » de la mutagenèse in vivo. Cette absence de risque est supposée, voire incantatoire car aucune évaluation n’a été faite. La vraie raison de cette exemption est économique et technique. On devine qu’il existe aujourd’hui un autre type de mutagenèse……
Dans les années 2000, les laboratoires ont commencé à faire de la mutagenèse in vitro sur cellules isolées. On est ici beaucoup plus proche de la transgenèse. On découpe le vivant en rondelles, on extrait des cellules qui ne peuvent se reproduire par elles-mêmes et on régénère des plantes à partir de ces cellules en utilisant des hormones.
Toutes ces étapes connexes à la mutagenèse en tant que telle modifient le vivant et peuvent avoir des effets sanitaires et environnementaux non désirés.
En juillet 2018, la Cour de Justice de l’UE a arrêté que les produits issus des nouvelles techniques de mutagenèse devaient être réglementés comme ceux issus de la transgenèse.

Depuis, c’est le branle-bas de combat chez les industriels, les semenciers et les politiques pour casser cette décision susceptible de donner un coup d’arrêt à leurs nouveaux OGM.

L’enjeu est énorme ! Normalement, un arrêt est d’application immédiate.
Or on sait que l’ensemble de l’UE cultive des OGM issus de la mutagenèse moderne.
Une transparence est indispensable, mais pour l’instant c’est l’omerta la plus totale.

Quels sont les dangers des OGM pour l’agriculture bio ?
Si les OGM se répandent, les semences paysannes seront contaminées et finiront par être brevetées. Tout le travail du paysan peut être mis à terre si la variété qu’il utilise est contaminée. C’est ce qui s’est passé au Guatemala et au Mexique.

Que peut-on faire ?
Manger bio ! Choisir des AOC ou des IGP qui refusent les OGM dans leur cahier des charges et lire le journal d’Inf’OGM pour se tenir informé.

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Où en sommes-nous ?

Le débat paraît ancien, voire dépassé : Les Organismes Génétiquement Modifiés, on a dit NON il y a vingt ans.

Alors pourquoi en reparler ?

La définition européenne d’un OGM est : « Organisme, à l’exception des être humains, dont le matériel génétique a été modifié d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle. » (Directive 2001/18)
Cela englobe plusieurs techniques de modification: la Transgenèse, mais pas seulement.

Les OGM les plus répandus sont le Soja, le Maïs, le Coton et le Colza.

Ils représentent 98 % ds OGM transgéniques cultivés dans le monde.
85 % des OGM transgéniques sont produits en Amérique du Nord et Latine, principalement par les Etats-Unis, le Brésil, l’Argentine et le Canada. L’Amérique Latine est complètement contaminée par les OGM : en Uruguay et au Paraguay 100 % du soja est transgénique. Sans oublier les maladies ds populations proches des champs où le soja transgénique est cultivé.
Sur le coton, on trouve la Chine et l’Inde (95 % des surfaces de coton sont en OGM). Sans oublier le suicides des cultivateurs de coton, un autre problème provoqué par les OGM.
Au total, 28 pays cultivent des OGM, dont certains sur de très petites surfaces, comme le Bangladesh qui cultive quelques centaines d’hectares d’aubergines transgéniques.

Historiquement, c’est la recherche publique qui a mis au oint les OGM dans les années 1980, Mais ce sont depuis longtemps les semenciers privés qui gèrent la question : Bayer-Monsanto, Syngenta-ChemChina, Dow-Dupond. Ce sont des chimistes, les mêmes qui ont mis sur le marché les herbicides et les pesticides.

Comment savoir si je mange des OGM ?
Il existe plusieurs législations au niveau mondial. L’Union Européenne dispose de la plus intéressante : tous les végétaux transgéniques doivent être étiquetés.L’UE ne produit pas d’OGM mais elle en import, principalement le soja et le coton. Le soja importé sert à nourrir le bétail. Un éleveur peut savoir qu’il nourrit son bétail avec un soja transgénique, mais pas le consommateur puisque le loi européenne exempte d’étiquetage les produits issus d’animaux nourris aux OGM.

On en mange donc pas directement de soja transgénique, mais on le consomme à travers les animaux ! Une autre grande exception, est la restauration collective, à laquelle l’Europe n’impose aucun devoir de transparence.

Comment justifier ces exemptions d’étiquetage ?
Si le consommateur voit marqué OGM, il boycotte !
En Europe on a fixé un seuil de tolérance à 0,9 %par ingrédient, quel que soit le poids de cet ingrédient dans la composition du produit. Et depuis la mise en place de l’étiquetage pour les végétaux on ne retrouve quasiment plus de tels produits dans les étals…..

Mais la viande issue d’animaux aux OGM reste très largement rependue incognito.

Un aliment bio, est-il forcement sans OGM ?
OUI : la philosophie de l’agriculture bio est contraire à celle des biotechnologies. Il existe une tolérance de 0,9 % par ingrédient qui a été récemment rajoutée au règlement bio. Elle a été réclamée par la filière bio canadienne, confrontée à des problèmes de contamination sur le colza.

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La cuisine 

Priorité aux produits non transformés et bios !
Pesticides, métaux lourds, bisphénol A, phtalates, additifs, conservateurs et arômes artificiels contaminent de nombreux aliments.
Or, ces substances chimiques exposent les consommateurs à des intoxications chroniques par des contacts répétés et croisées, facteurs potentiels de cancers, maladies neurodégénératives, respiratoires ou métaboliques et d’infertilité.

Les Bonnes attitudes

Limiter les apports en additifs en consommant des produits bruts, frais, le moins transformé possible.
• Car les sols sont plus contrôlés en agriculture biologique qu’en agriculture conventionnelle ; privilégier le bio pour tout, dans tous les cas pour tout ce qui ne s’épluche pas et bien éplucher le reste, en particulier les pommes, les poires et les pêches…
3,77 résidus de pesticides en moyenne dans 31 échantillons de salades testées et même du DDT dans 2 d’entre elles.
Ne pas manger le gras de la viande et peu de charcuterie et de poissons carnassiers, aliments les plus contaminés par les dioxines, PCB et métaux.

Ustensiles et emballages : sus aux plastiques !
Le plastique des récipients, ustensiles et emballages peut renfermer du bisphénol A (BPA), des phtalates, de la mélamine ou du formaldéhyde, PE qui peuvent migrer vers les aliments sous l’effet de la chaleur.
Le polytétrafluoroéthylène (PTFE) et l’acide perfluoro-octanoïque (PFOA) dans le revêtement antiadhésif des poêles et casseroles sont toxiques à forte chaleur.
Méfiance également vis-à-vis des moules en silicone, à la composition mal connue.
L’aluminium est suspecté de nuire au système neurologique et de provoquer des inflammations intestinales. En présence d’aliment acide ou salés, les contenants en alu peuvent en relâcher des quantités non négligeables.

Les Bonnes attitudes

Ne pas chauffer les plastiques alimentaires, en particulier au micro-onde, y compris les étirables qui ne doivent pas rentrer en contacte avec les corps gras.
Bannir les aliments ayant longtemps séjourné dans du plastique, des boîtes de conserves et des canettes tapissées d’epoxy pouvant contenir du bisphénol A.
Eviter les plastiques marqués d’un triangle en relief avec le chiffre 7, 6 ou 3.
Conserver les aliments nature ou cuisinés, dans des récipients en verre, céramique, en fonte ou en inox.
Privilégier les poêles et casseroles sans revêtement antiadhésif, quitte à cuisiner avec un filet d’huile.
Eviter la cuisson d’aliments très acides ou salés dans des récipients ou du papier à base d’aluminium.
Eviter le papier de cuisson enduit de silicone.

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L’Ovo-lacto végétarisme permet de manger des œufs, des produits laitiers et des végétaux.

Le Végétarisme consiste à exclure la chair animale (viandes et poisson) de son alimentation.

Le Pesco-végétarisme supprime la consommation de viande, mais autorise la chair des poissons, ds crustacés et des mollusques, en privilégiant une production et un élevage respectueux.

Le Flexitarisme autorise occasionnellement de la viande ou du poisson en privilégiant des modes de productions et d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.

Le Végétalisme interdit l’ensemble des produits d’origine animale, la chair mais aussi les produits de l’animal comme les œufs, les produits laitiers et le miel…….

Le Véganisme repose sur un choix de vie qui refuse la souffrance et l’exploitation animale, dans l’alimentation, mais aussi dans la consommation de produits vestimentaires, cosmétiques et les loisirs.

Le Macrobiotisme quant à lui, est fondé sur une alimentation frugale à base de céréales et d’un équilibre entre le Yin et le Yang.

Le Crudivorisme ou alimentation vivante consiste à se nourrir exclusivement d’aliments crus ou cuit à très basse température.

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