dans un objectif zéro déchet tout en préservant notre santé !

En effet, si vos produits sont issus de l’agriculture biologique, l’épluchage ne doit pas être un automatisme. Une fois l’origine de vos produits garantie, vous pouvez consommer vos fruits et légumes sans les éplucher, à condition de les avoir au préalable rincés et brossés sous l’eau avec une brosse à légumes en bois.

La peau de nombreux fruits et légumes contient une part importante d’éléments nutritifs : vitamines, minéraux, polyphénols, fibres et antioxydants.

Un joli mélange bénéfique pour la santé.

1. Le Concombre : Voilà un des légumes phares de l’été et de nos salades. Bien souvent l’économe n’est pas très loin car beaucoup s’imagine que sa peau ne se mange pas. Certes sa peau est un peu dure mais elle est aussi très riche en fibres et en antioxydants.

2. La Carotte : Il est vrai que les carottes peuvent demander un peu plus de temps de nettoyage mais leur peau, très fine, contient des antioxydants et des caroténoïdes. Les caroténoïdes aident la peau à se protéger du soleil.

3. Le Potimarron : Sa peau est pleine d’antioxydants et de bêtacarotène.

4. La Courgette : La peau de la courgette est très riche en vitamines A, B et C. Elle contient également des minéraux et des oligo-éléments.

5. Le Panais : Ce légume d’hiver ressemble beaucoup à la carotte mais se différencie par sa couleur blanche. Comme la carotte, frottez-le sous l’eau et conserver ainsi sa peau riche en potassium et en fibres.

6. Le Navet : Les navets apportent antioxydants et molécules soufrées qui ont indirectement des propriétés anti-cancer.

7. La Tomate : Star de l’été, la peau de la tomate est riche en vitamines A, B et C. Pas besoin de les éplucher, rincez-les et dégustez-les !

8. Le Poivron : Le poivron est très riche en vitamine C. Il contient également des vitamines A, B et E. Sont également présents des oligo-éléments et des minéraux tels que le phosphore, le calcium, le magnésium, le fer, le cuivre, le manganèse et le zinc.

9. La Poire : Savourez votre poire avec sa peau pour bénéficier des propriétés antioxydantes et de la vitamine C qu’elle contient.

10. La Pomme : La peau de la pomme renferme beaucoup de vitamine C : quatre à six fois plus que dans la chair !

Plus de doute à avoir et dégustez désormais ces fruits et légumes avec leur peau !

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Le Mythe du Zéro-papier !

Les données agrégées montrent que l’on consomme toujours plus de papier, mais en plus, rien n’indique que le remplacement du papier par les TIC soit meilleur pour l’environnement.

Entre un livre lu sur papier et un livre lu sur une liseuse, quel est le plus « vert » des deux ?

D’après les études réalisées, il devient plus écologique de lire sur liseuse seulement à partir du 137e livre lu sur cette TIC : c’est le seuil de basculement.
En deçà de ce chiffre, mieux vaut lire des livres papiers !

Combien de livre lisons-nous par an ? Posons-nous la question ?
Personnellement, j’en lis entre 30 et 40, et tous sur papier, ainsi je peux les prêter aux personnes autour de moi.

Par ailleurs, quelle que soit la phase du cycle de vie du produit (conception, consommation, fin de vie), le livre papier est plus écologique que le livre numérique.
On sait parfaitement recycler et réutiliser le papier, alors que pour les déchets électroniques, les pratiques sont désastreuses.

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Ecolabel Européen
Public, l’Ecolabel européen est délivré par l’Afnor Certification.
Plus de 1500 produits ménagers le détiennent, qui respectent ces critères :

• interdiction ou limitation de certains ingrédients
• importante biodégradabilité du produit et impact sur l’environnement aquatique limité
• réduction de l’emballage
• être au moins aussi efficace qu’un produit conventionnel

++++
Des produits largement diffusés en magasins bios et grandes surfaces.
—-
Pas d’exigence sur les procédés de fabrication ni l’origine des matières premières, naturelles ou issues de la pétrochimie.

 

Ecodétergent
Le label Eco-détergent a été lancé par Ecocert, accrédité par les autorités françaises.
1600 produits sont certifiés.
Leurs critères :

• ingrédients issus de sources renouvelables et fabrication respectant l’environnement
• biodégradabilité et emballages recyclables
• composition exhaustive du produit sur l’étiquetage

++++
Pas plus de 5 % d’ingrédients de synthèse.
Création d’un autre label plus récent « Eco-détergent à base d’ingrédients biologique »
—-
La majorité des produits sont disponibles en magasins bios, même si certaines marques sont vendues en grandes surfaces.

 

Nature & Progrès
C’est l’une des plus anciennes organisations militant pour l’agriculture bio.
7 Marques au cahier des charges très strict :

• matières premières naturelles et bios
• interdiction d’OGM, d’huile de palme, de produits toxiques, de bases lavantes de synthèse
• biodégradabilité supérieure à 99 %
• emballages 100 % biodégradables…

++++
Les adhérents Nature & Progrès sont liés par une charte avec u triple objectif : écologique, économique et humain.
—-
Les marques sont vendues en magasins bios, les autres par vente en directe, mais rien en grande distribution.
Méfiance Si………

……. u produit ménager affiche les seules mentions « Ecologique », « Vert », « Respecte la nature », « Protège l’environnement » ou « Formule biodégradable ».

Sans référence à un label reconnu, il s ‘agit souvent d’allégations du fabricant destinées à rendre le produit plus attractif.

 

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Chaque année, un Français jette en moyenne 20 kg d’aliments……….

Diviser par 2 votre panier à provision
La meilleure façon de ne pas gaspiller, c’est d’acheter ce dont on a besoin ni plus, ni moins.
Je planifie mes repas pour la semaine ou pour plusieurs jours et je vais faire mes courses avec une liste !
Je privilégie les produits frais et ceux à la coupe, et surtout à la bonne quantité.

Bien ranger votre frigo
Je range mes achats après le marché.
Je glisse les produits nouvellement achetés derrière les plus anciens.
Je fais la même chose dans le congélateur et les placards.

• Tenter de nouvelles recettes
Je prends ce qui est à consommer et je cherche une recette pour les utiliser.
Je fais la même chose avant de faire les menus et ma liste de courses.

Tout se recycle
Epluchures, fanes, coquilles d’œufs, marc de café, croûtes de fromage……. filent direct dans mon bac à compost.
Je recycle l’eau de lavage des fruits et légumes pour arroser mes plantes ou le jardin !

• Congeler !
Rien ne se perd, tout se congèle………. dès qu’un aliment est proche de sa date de péremption, ou que j’ai cuisiné de bons petits plats en grandes quantité.
Il faut prendre soin de préparer des portions pour 2 personnes maximum.
Bien les emballer, avec le moins d’air possible et donc de bactéries, pour qu’ils se conservent plus longtemps.

 

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Le numérique révolutionne nos modes de vie, mais il a également des impacts sur l’environnement dont on commence seulement à mesurer l’ampleur vertigineuse.

Le premier impact du numérique résulte de la quantité de matériaux non renouvelables qui sont gaspillés pour produire des équipements à courte durée de vie.
Pour fabriquer un smartphone, il faut 70kg de matières premières !

Les chiffres de l’impact d’Internet, en termes de gaz à effet de serre, est de 2 % à 6 %, selon les sources, mais 2 choses sont déjà certaines : cet impact a depuis longtemps dépassé celui d’un secteur aussi polluant que le secteur aérien et la progression de cet impact est exponentielle.

Seul 10 à 20 % des déchets électroniques sont gérés de façon responsable.
Le reste est soit envoyé, de façon illégale à l’étranger, dans les pays pauvres, où des enfants vont manipuler des métaux dangereux pour tenter d’en tirer un quelconque bénéfice, au mépris de leur santé ; soit jeté sans prétraitements dans les décharges.

L’eau de pluie finit par lessiver les diverses substances et métaux lourds se trouvant dans les déchets électroniques (arsenic, antimoine, brome, cadmium, chlore, lithium, mercure, phosphore……) qui vont finir par polluer les sols, puis les nappes phréatiques, jusqu’à infecter nos légumes…….. que nous allons manger. Nous mangeons nos ordinateurs !

Alors agissons contre l’obsolescence programmée et la mode qui nous poussent à changer de téléphone, d’ordinateur, de tablette…. !

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Verte, Ocre, Blanche, Marron……. Toutes ces poudres naturelles n’ont pas les mêmes propriétés……

L’argile verte pour les mauvaises odeurs

• Placez-en un petit bol rempli aux 2/3 dans les placards à chaussures, frigo et autres lieux confinées. Pensez à la renouveler tous les 10 jours.

La terre de Sommière, le traqueur de graisse

Argile en poudre, souvent de couleur ocre, elle est l’arme secrète des teinturiers pour venir à bout des taches de graisses rebelles. C’est une argile smectique ultra fine qui peut absorber jusqu’à 80 % de son poids en eau. C’est un formidable détachant à sec, sans auréole, des taches grasses sur des surfaces fragiles telles que les textiles, les tissus d’ameublement, les tapis, les cuirs, les marbres, granits….. Elle absorbe et neutralise également de nombreuses autres types de taches : urine sur de coussins, tache de vin sur les nappes, etc.

• Saupoudrez abondamment et laissez agir de quelques heures à une nuit, la poudre absorbera le gras. Enlevez le tout à l’aspirateur.
• Pour désodoriser le linge, il suffit d’en verser une pincée dans l’eau du fer à repasser.

Le Blanc de Meudon, l’allié de la brillance

C’est un blanc de plâtre, extrait d’une carrière de craie ? Légèrement abrasif, il nettoie parfaitement les cuivres, l’étain mais aussi le marbre. Le Blanc de Meudon est constitué de particules de carbonate de calcium qui est le composant principal du calcaire et de la craie.

• Préparer une pâte en mélangeant 1 à 2 cuillères à soupe avec de l’eau, appliquez-la avec une éponge humide. Laissez agir 5 minutes puis rincez à l’eau claire. Lustrer avec un chiffon.
• Pour faire briller vitres et miroirs, essuyez-les avec une éponge humide imprégnée de Blanc de Meudon. Laissez sécher puis enlever le tout avec un chiffon, attention à la poussière de craie qui va s’éparpiller.
• Recouvrez votre argenterie d’une fine couche de Blanc, avant de les ranger, pour éviter qu’elles ne s’oxydent.

La pierre d’argile, la nettoyant multi-usage

Appelée aussi « pierre d’argent ou pierre blanche », cette pâte est composée d’argile blanche et de savon. Légèrement abrasive, elle dégraisse, détartre, fait briller les vitres et les métaux (argenterie, chrome, inox, cuivre), rénove les joints de carrelage, etc.……

• La recette est toujours la même : il suffit de frotter avec une éponge humide imprégnée de pierre d’argile, de laisser sécher, de rincer et de lustrer avec un chiffon doux.

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Salle de Bain

C’est la terre d’élection des substances chimiques, en particulier des perturbateurs endocriniens (PE) et des sels d’aluminium. L’exposition régulière à plusieurs substances chimiques à la fois, « l’effet cocktail », est due au passage aisé dans l’organisme, via la peau, les lunules des ongles, le cuir chevelu et les gencives.

Les bonnes attitudes

  • Préférer le vrai savon de Marseille ou des savons faits naturellement avec des label bio. Eviter les gels douche ….
  • N’utilisez pas des gels anti-bactériens pour vous laver les mains au quotidien, car ils peuvent contenir du triclosan (PE).
  • Choisir des déodorants sans parabens, ni sels d’aluminium
  • Adopter le vernis à ongles bio
  • Utiliser des huiles, du karité ou des crèmes bio comme produits hydratants et démaquillants.
  • Eviter l’usage quotidien du parfum, de l’eau de toilette ou de la lotion après-rasage dans la mesure ou l’on ne connaît pas leur composition exacte ……les choisir bio.
  • Se brosser les dents avec du dentifrice bio …… si vous avez besoin de fluor, consulter un naturopathe, car il ne manque pas seulement au niveau des dents !

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Où allons-nous ?

Qu’appelle-t-on « Les Nouveaux OGM » ?

On connaît bien les OGM issus de la transgenèse, auxquels nous avons dit non dans les années 2000….
Nous avons parlé de la 1ère et de la 2ème exception, mais il y a une troisième exception: celle des micro-organismes.
Un certain nombre de substances sont produites à partir de levures ou de bactéries GM et échappent aujourd’hui à l’étiquetage.

Mais la transgenèse consiste à insérer une séquence d’ADN d’un être vivant dans un autre être vivant en s’affranchissant de la reproduction sexuée. Cette méthode a choqué l’opinion, car elle permet de franchir la barrière des espèces, de mettre du poisson dans les fraises.

Mais les tout premiers OGM sont des plantes issues d’une autre forme de manipulation, la mutagenèse. Or s’il n’existe qu’une seule transgenèse, il existe plusieurs mutagenèses.
Depuis les années 1930, on fait de la mutagenèse in vivo, c’est-à-dire sur des éléments vivants (plantes ou graines entières), au moyen de la radiation nucléaire ou de produits chimiques. En gros on prend une graine et on la bombarde d’agents mutants extérieurs. Cela ressemble un peu à ce que fait la nature dans le sens où c’est le génome entier de la graine qui va devoir s’adapter à une pression extérieure.
C’est non naturel, mais on utilise les mécanismes du vivant, c’est pourquoi cette forme de mutagenèse a été exemptée de la directive européenne de 2001, qui s’est concentrée sur les OGM transgéniques.

À l’époque, il y avait déjà plus de 3 000 variétés de plantes mutées répertoriées et le législateur trouvait trop compliqué de les évaluer, étiqueter, autoriser…...

Il a préféré les exempter en utilisant cette formule : « il y a une historicité d’utilisation sans risque » de la mutagenèse in vivo. Cette absence de risque est supposée, voire incantatoire car aucune évaluation n’a été faite. La vraie raison de cette exemption est économique et technique. On devine qu’il existe aujourd’hui un autre type de mutagenèse……
Dans les années 2000, les laboratoires ont commencé à faire de la mutagenèse in vitro sur cellules isolées. On est ici beaucoup plus proche de la transgenèse. On découpe le vivant en rondelles, on extrait des cellules qui ne peuvent se reproduire par elles-mêmes et on régénère des plantes à partir de ces cellules en utilisant des hormones.
Toutes ces étapes connexes à la mutagenèse en tant que telle modifient le vivant et peuvent avoir des effets sanitaires et environnementaux non désirés.
En juillet 2018, la Cour de Justice de l’UE a arrêté que les produits issus des nouvelles techniques de mutagenèse devaient être réglementés comme ceux issus de la transgenèse.

Depuis, c’est le branle-bas de combat chez les industriels, les semenciers et les politiques pour casser cette décision susceptible de donner un coup d’arrêt à leurs nouveaux OGM.

L’enjeu est énorme ! Normalement, un arrêt est d’application immédiate.
Or on sait que l’ensemble de l’UE cultive des OGM issus de la mutagenèse moderne.
Une transparence est indispensable, mais pour l’instant c’est l’omerta la plus totale.

Quels sont les dangers des OGM pour l’agriculture bio ?
Si les OGM se répandent, les semences paysannes seront contaminées et finiront par être brevetées. Tout le travail du paysan peut être mis à terre si la variété qu’il utilise est contaminée. C’est ce qui s’est passé au Guatemala et au Mexique.

Que peut-on faire ?
Manger bio ! Choisir des AOC ou des IGP qui refusent les OGM dans leur cahier des charges et lire le journal d’Inf’OGM pour se tenir informé.

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Où en sommes-nous ?

Le débat paraît ancien, voire dépassé : Les Organismes Génétiquement Modifiés, on a dit NON il y a vingt ans.

Alors pourquoi en reparler ?

La définition européenne d’un OGM est : « Organisme, à l’exception des être humains, dont le matériel génétique a été modifié d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle. » (Directive 2001/18)
Cela englobe plusieurs techniques de modification: la Transgenèse, mais pas seulement.

Les OGM les plus répandus sont le Soja, le Maïs, le Coton et le Colza.

Ils représentent 98 % ds OGM transgéniques cultivés dans le monde.
85 % des OGM transgéniques sont produits en Amérique du Nord et Latine, principalement par les Etats-Unis, le Brésil, l’Argentine et le Canada. L’Amérique Latine est complètement contaminée par les OGM : en Uruguay et au Paraguay 100 % du soja est transgénique. Sans oublier les maladies ds populations proches des champs où le soja transgénique est cultivé.
Sur le coton, on trouve la Chine et l’Inde (95 % des surfaces de coton sont en OGM). Sans oublier le suicides des cultivateurs de coton, un autre problème provoqué par les OGM.
Au total, 28 pays cultivent des OGM, dont certains sur de très petites surfaces, comme le Bangladesh qui cultive quelques centaines d’hectares d’aubergines transgéniques.

Historiquement, c’est la recherche publique qui a mis au oint les OGM dans les années 1980, Mais ce sont depuis longtemps les semenciers privés qui gèrent la question : Bayer-Monsanto, Syngenta-ChemChina, Dow-Dupond. Ce sont des chimistes, les mêmes qui ont mis sur le marché les herbicides et les pesticides.

Comment savoir si je mange des OGM ?
Il existe plusieurs législations au niveau mondial. L’Union Européenne dispose de la plus intéressante : tous les végétaux transgéniques doivent être étiquetés.L’UE ne produit pas d’OGM mais elle en import, principalement le soja et le coton. Le soja importé sert à nourrir le bétail. Un éleveur peut savoir qu’il nourrit son bétail avec un soja transgénique, mais pas le consommateur puisque le loi européenne exempte d’étiquetage les produits issus d’animaux nourris aux OGM.

On en mange donc pas directement de soja transgénique, mais on le consomme à travers les animaux ! Une autre grande exception, est la restauration collective, à laquelle l’Europe n’impose aucun devoir de transparence.

Comment justifier ces exemptions d’étiquetage ?
Si le consommateur voit marqué OGM, il boycotte !
En Europe on a fixé un seuil de tolérance à 0,9 %par ingrédient, quel que soit le poids de cet ingrédient dans la composition du produit. Et depuis la mise en place de l’étiquetage pour les végétaux on ne retrouve quasiment plus de tels produits dans les étals…..

Mais la viande issue d’animaux aux OGM reste très largement rependue incognito.

Un aliment bio, est-il forcement sans OGM ?
OUI : la philosophie de l’agriculture bio est contraire à celle des biotechnologies. Il existe une tolérance de 0,9 % par ingrédient qui a été récemment rajoutée au règlement bio. Elle a été réclamée par la filière bio canadienne, confrontée à des problèmes de contamination sur le colza.

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La cuisine 

Priorité aux produits non transformés et bios !
Pesticides, métaux lourds, bisphénol A, phtalates, additifs, conservateurs et arômes artificiels contaminent de nombreux aliments.
Or, ces substances chimiques exposent les consommateurs à des intoxications chroniques par des contacts répétés et croisées, facteurs potentiels de cancers, maladies neurodégénératives, respiratoires ou métaboliques et d’infertilité.

Les Bonnes attitudes

Limiter les apports en additifs en consommant des produits bruts, frais, le moins transformé possible.
• Car les sols sont plus contrôlés en agriculture biologique qu’en agriculture conventionnelle ; privilégier le bio pour tout, dans tous les cas pour tout ce qui ne s’épluche pas et bien éplucher le reste, en particulier les pommes, les poires et les pêches…
3,77 résidus de pesticides en moyenne dans 31 échantillons de salades testées et même du DDT dans 2 d’entre elles.
Ne pas manger le gras de la viande et peu de charcuterie et de poissons carnassiers, aliments les plus contaminés par les dioxines, PCB et métaux.

Ustensiles et emballages : sus aux plastiques !
Le plastique des récipients, ustensiles et emballages peut renfermer du bisphénol A (BPA), des phtalates, de la mélamine ou du formaldéhyde, PE qui peuvent migrer vers les aliments sous l’effet de la chaleur.
Le polytétrafluoroéthylène (PTFE) et l’acide perfluoro-octanoïque (PFOA) dans le revêtement antiadhésif des poêles et casseroles sont toxiques à forte chaleur.
Méfiance également vis-à-vis des moules en silicone, à la composition mal connue.
L’aluminium est suspecté de nuire au système neurologique et de provoquer des inflammations intestinales. En présence d’aliment acide ou salés, les contenants en alu peuvent en relâcher des quantités non négligeables.

Les Bonnes attitudes

Ne pas chauffer les plastiques alimentaires, en particulier au micro-onde, y compris les étirables qui ne doivent pas rentrer en contacte avec les corps gras.
Bannir les aliments ayant longtemps séjourné dans du plastique, des boîtes de conserves et des canettes tapissées d’epoxy pouvant contenir du bisphénol A.
Eviter les plastiques marqués d’un triangle en relief avec le chiffre 7, 6 ou 3.
Conserver les aliments nature ou cuisinés, dans des récipients en verre, céramique, en fonte ou en inox.
Privilégier les poêles et casseroles sans revêtement antiadhésif, quitte à cuisiner avec un filet d’huile.
Eviter la cuisson d’aliments très acides ou salés dans des récipients ou du papier à base d’aluminium.
Eviter le papier de cuisson enduit de silicone.

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