C’est l’âge du « faire par soi-même ». Les gens ressentent de plus en plus le besoin de réaliser quelque chose avec leurs mains….

En ce qui me concerne, j’ai toujours eu besoin de faire quelque chose. Ma mère cousait et déjà petite je faisais des robes à mes poupées avec les chutes de tissu  des robes qu’elle se confectionnait par plaisir.
Une de mes grand-mères cousait les vêtements de sa famille et l’autre brodait, tricotait et faisait du crochet……..

L’art au quotidien
Je touche à tout. Couture, broderie, tricot, crochet et autre bricolage comme vous pouvez le voir sur le Blog.

La couture plaisir
Coudre me permet d’avoir des vêtements bien finis et adaptés à ma morphologie. Je ne peux pas m’empêcher de modifier les patrons de tricot et de créer les miens…..en couture je combine 2 patrons pour faire un nouveau modèle……j’utilise du tissu d’ameublement pour faire des vêtements….

Mon credo
Il suffit d’une première réussite créative pour devenir « accro » au tricot ou autre.
Ce n’est pas parce que c’est fait maison que cela doit se voir, les finitions doivent être parfaites !

Mon conseil
Bien s’équiper si le but en vaut la peine. C’est la moitié de la réussite.

Mon astuce budget
Acheter l’équipement sur des sites Internet où l’on trouve des objets d’occasion, les fournitures sur les marchés ou dans les boutiques d’objets recyclés, attendez les soldes……on peut bricoler sans se ruiner !

Les Petits chaussons pour bébé de Lore

Taille pour un nourrisson, plus le bébé grandit plus vous mettez de mailles au départ………..la réalisation reste la même

Fournitures
– 5 aiguilles double pointes n°2,5 ou 3
– 50 gr de laine pour bébé ou laine 4 fils pour chaussettes (50 gr à 210 m) 75% laine 25% Polyamide

Technique
Côte 1/1
Jersey
Point mousse

 

Chausson

Tige du chausson
– Se tricotent en rond sur aiguilles doubles pointes
Monter 40 mailles réparties (10,10,10,10) sur les aiguilles doubles pointes (Pour des tailles plus grandes, vous pouvez augmenter e nombre de mailles sur chaque aiguille, mas il doit rester paire)
– Tricoter en côtes 1/1 environ jusqu’à ce que l’ouvrage mesure environ 7 cm
– Au rang suivant faire 2 mailles ensemble et 1 jeté sur les 40 mailles

Pied du chausson
– Ensuite tricoter la première aiguille en maille endroit (10 mailles), laissez les 3 autres aiguilles en attente
– Tourner
– Tricoter 1 rang envers
– *Tricoter 1 rang endroit
– Tricoter 1 rang envers*
– Répéter de *à*
– *Tricoter 1 rang envers
– Tricoter 1 rang endroit*
– Répéter de *à*
– *Tricoter 1 rang endroit
– Tricoter 1 rang envers*
– Répéter de *à*
– *Tricoter 1 rang envers
– Tricoter 1 rang endroit*
– Répéter de *à*
– *Tricoter 1 rang endroit
– Tricoter 1 rang envers*
– Répéter de *à*
– *Tricoter 1 rang envers
– Tricoter 1 rang endroit*
– Répéter de *à*
– Tricoter 1 rang endroit
– Ramasser 10 mailles sur le côté + tricoter les mailles de l’aiguille suivante (20 mailles)
– Tricoter l’aiguille numéro 3
– Tricoter l’aiguille numéro 4 + ramasser 10 mailles comme de l’autre côté (20 mailles)
– Tricoter 3 tours en mailles endroit
– *Tricoter 4 tours en mailles envers
– Tricoter 4 tours en mailles endroit*
– Répéter de *à* 2 fois
– Faire un tour en mailles endroit

Semelle du chausson
– Tricoter 2 mailles et rabattre la 1ère sur la 2ème, tricoter les autres mailles endroit et les 2 mailles restantes ensemble
– Tricoter les 20 mailles endroit
– Tricoter 2 mailles et rabattre la 1 ère sur la 2 ème, tricoter les autres mailles endroit et les 2 mailles restantes ensemble
– Tricoter les 20 mailles endroit
– Continuer les diminutions jusqu’à ce qu’il ne reste que 2 – 20 – 2 – 20 mailles
– Repartir les mailles sur les 4 aiguilles à partir du milieu devant 1+10 – 10 +1 – 1+10 – 10+1
– Continuer les diminutions jusqu’à ce qu’il reste 10 mailles sur chaque aiguilles
– Retourner les chaussons et mettre toutes les mailles sur une aiguille (alterner les mailles en prenant la première maille de chaque aiguille
Rabattre en tricotant 2 mailles ensemble
– Rentrer les fils

Nœud
– Faire une chaînette au crochet d’environ 110 mailles en l’air
– Passer la chaînette dans les trous du chausson à l’aide du crochet
Faire de même pour le deuxième chausson.

Astuce : Utilisez des restes de laine…

Découvrez aussi Les chaussettes de Lore

Quelques astuces pour les contrer…

Certaines odeurs désagréables peuvent rester malgré l’utilisation de votre hotte lorsque vous cuisinez et que vous aérez tous les jours au moins 10 minutes, car nous savons tous que l’air intérieur est souvent plus pollué que l’air extérieur ! 

Que faire pour capturer les odeurs de cuisine ?

      • Le Citron

Rincez-vous les doigts avec du jus de citron afin de retirer les odeurs de poisson ou fruits de mer.

      • Les Zestes et Pelures d’agrumes et le Thym

Faire bouillir de l’eau et y ajouter des zestes ou des pelures d’agrumes biologiques avec de la cannelle en bâtons, si vous aimez ou bien du thym. Au bout de quelques minutes, vous pouvez éteindre et laissez s’évaporer les effluves dans la pièce.
Le thym est très efficace contre les odeurs de fromage.

      • Les Huiles Essentielles

Pour assainir votre cuisine…. l’huile essentielle de Lavande sur un coton ou morceau de tissu dans votre cuisine supprimera les mauvaises odeurs.
Mélanger 15 gouttes d’huile essentielle d’Arbre à Thé (Tea tree) dans un litre de vinaigre et utilisez ce mélange pour nettoyer les surfaces.

      • Les Marc de Café ou le Bicarbonate de sodium

Toutes sortes d’odeurs se rencontrent dans votre réfrigérateur, afin de les neutraliser, placez du marc de café utilisé dans une coupelle et remplacez le tous les 15 jours ou bien du bicarbonate.

Un peu d’argile verte ou blanche en poudre,au fond de votre poubelle absorbera les mauvaises odeurs qui peuvent s’y trouver.

 

Découvrez aussi : Le Manage au Naturel ?

Huile Essentielle d’Ylang Ylang

Ylang Ylang
Cananga odorata

Description botanique

Originaire d’Asie, cet arbre tropical à feuilles brillantes et persistantes atteint 20 mètres de haut à l’état sauvage. Il se caractérise par des branches tombantes qui doivent être taillées tous les 2 mois. Les jolies fleurs jaunes, très odorantes, qu’on récolte à l’automne à maturité, avant le levé du soleil, produisent la meilleure huile essentielle.
50 kg de fleurs donnent 1 kg d’huile essentielle.

L’avis du professionnel

L’ylang ylang fournit une huile essentielle dont la fragrance est unanimement appréciée pour ses notes chaudes, florales, exotiques, rondes et féminines.
Il n’est guère étonnant qu’elle fasse partie des huiles essentielles qui, par l’olfaction, peuvent modifier un comportement humain.

• Au quotidien, 1 goutte d’ylang ylang dans votre crème de jour donnera une action tonique pour la peau et vous permettra, par l’olfaction, d’échapper aux pressions et stress d’une vie très active.

Précautions et contre-indications

Voie interne réservée au thérapeute
Déconseillé chez la femme enceinte
Pas d’usage prolongé sans l’avis d’un naturopathe ou d’un aromathérapeute

Voir aussi l’Hélichryse, la Citronnelle de Java et la Menthe Poivrée

Echarpe Laine Pompon au crochet

Pour faire une belle guirlande au crochet !

Dimension : 120 cm environ

Fournitures
– de la laine Pompon 60g environ

– crochet n° 4

Détails Techniques
Maille en l’air

Echarpe

– après 1 pompon faire une 1 maille en l’air avec la parie fine du fil
– *après le 3ème pompon crocheter 2 mailles en l’air*
– répéter de *à*
– arrêter au bout de 120 cm ou à la longueur de votre choix.

Découvrez aussi l’Echarpe Laine pompon

L’interview : Chloe Bernard

Cela fait longtemps que j’entends parler de Doula……mais en rencontrer une en “Chair et en Os” c’est autre chose !

Le Blog – Bonjour Chloé, qui êtes-vous ?

CB – Je suis Chloé Bernard, j’ai 38 ans et j’habite en Finlande depuis 10 ans. Je vis avec ma famille à Vantaa et je suis Doula.

Le Blog – C’est quoi une Doula ?

CB – Le rôle de Doula a toujours existé. Le mot vient du grec et signifie “servante”. Le métier moderne de Doula s’est répandu d’abord aux Etats Unis puis au Royaume Uni dans les années 90 avant de devenir populaire dans le reste du monde dans les années 2000.
La Doula est une personne qui facilite les transitions d’un état à un autre, d’un monde à un autre.

Le Blog – Et concrètement cela se passe comment ?

CB – J’informe les parents, je les soutiens quels que soient leurs choix, je les accompagne tout au long de la grossesse, pendant l’accouchement si les familles le désirent mais aussi pendant la période très délicate du postpartum.
J’aide à la préparation d’un plan de naissance tout en informant des bénéfices et des risques de chaque intervention et des différents moyens de lutter contre la douleur.
J’explique également le rôle de la douleur dans le processus physiologique de la naissance.
Je parle du fragile mais magique cocktail d’hormones qui le maintient. Je parle d’amour et d’ocytocine.
J’encourage également les parents à poser des questions aux équipes médicales et je discute du consentement des patients qui pour moi est essentiel.

Le Blog – Apportez-vous aussi des soins ?

CB – Oui, aussi, durant les différentes étapes par lesquelles passent les futures parents.
Pendant la grossesse, je masse, j’établis une relation de confiance, j’écoute beaucoup, je propose des exercices d’équilibrage, j’accompagne le ou la partenaire à trouver sa place aussi et je lui enseigne des bercements au rebozo (une écharpe mexicaine en coton).
Pendant l’accouchement, j’apporte mon soutien moral et physique.
J’encourage, je console, je nourris, je masse, je porte, je danse le slow, je comprends, je protège la bulle.
Après la naissance, j’aide à l’allaitement si besoin (malgré le fait que je ne sois pas consultante en lactation), j’apporte à manger, je fais de menus travaux ménagers, je peux aussi promener le chien, faire des courses, porter le bébé pendant que la maman prend sa douche, masser, chouchouter le corps de celle qui vient de donner la vie et l’aider à fermer le chapitre de la grossesse pour entamer celui de la maternité.
Il est aussi très important de débriefer sur l’accouchement, les ressentis, les douleurs physiques et morales.

Le Blog – Tout un programme ! Et qu’est-ce qui vous a poussé à devenir Doula ? Ce n’est pas un métier ordinaire …

CB – La naissance de mon premier fils a été, pour moi, un fiasco.
Je l’ai vécue de manière traumatique: personnel médical infantilisant, conseils contradictoires des infirmières post-accouchement, peu de soutien à mon allaitement.
Je me suis sentie trahie et abandonnée. Un gros moment de solitude.
Pour la naissance de mon deuxième, j’étais beaucoup plus renseignée et mieux entourée. L’accouchement a été doux, je me suis sentie respectée et mon allaitement s’est très bien passé. Cette deuxième expérience positive a su panser les douleurs de ma première expérience. J’en garde bien sûr des cicatrices mais je vais beaucoup mieux.

Le Blog – Un vécu personnel….

CB – Oui, le contraste de ces deux expériences m’a orienté professionnellement dans le métier de Doula.
J’ai donc suivi une formation chez Doulakka avec Veera Gindonis puis j’ai créé ma marque Ilmatar Doula.
J’aimerais que toutes les personnes portant la vie puissent avoir la chance d’avoir un accouchement puissant, beau, enrichissant. En anglais, on parle beaucoup d’empowerment. La naissance d’un bébé, c’est aussi la naissance d’une maman.
C’est un événement qui nous change à jamais, un événement qui modifie nos corps, nos cerveaux et nos vies.
Un événement qui agit aussi sur la confiance en soi.

Le Blog – Quel beau métier…

CB – Non seulement je suis Doula mais je lutte contre les violences gynécologiques et obstétricales.
Le modèle de soins patriarcal de notre société doit changer. Les corps féminins ne sont pas des machines cassées que l’on doit réparer. Les corps féminins sont puissants et méritent le respect. L’âme et l’esprit qui s’y trouvent, aussi.

Le Blog- Oui, je suis entièrement d’accord avec vous, il y a encore beaucoup de travail à faire pour changer ce modèle médical patriarcal, car la plupart des femmes ne se rendent pas compte de ce qui leur est fait….je l’ai moi même expérimente de la part du milieu médical, de ma famille et des mes amis car c’était pour mon bien !
Et que faisiez-vous avant d’être Doula ?

CB – Les circonstances de la vie, la situation économique de la société dans laquelle je travaillais, mes propres convictions, et la rencontre avec Siri, une doula, ont influencé ma reconversion.

De nos jours, on a souvent plusieurs vies dans une même vie : dans ma vie d’avant j’ai été responsable de campagnes marketing, chef de projet design mais aussi business manager. J’ai eu aussi l’occasion de tenir un petit café à Myyrmäki, en banlieue d’Helsinki, dans l’enceinte d’un hall de skate. Maintenant, quand je cuisine professionnellement c’est pour le post-partum.

Le Blog – Avez-vous remarque des changements depuis que vous êtes Doula ?

CB – Le changement est lent mais il opère sûrement. Les Doulas ont d’abord été décriées. Elles étaient associées à des extrémistes de l’accouchement naturel et considérées comme élitistes et inutiles. Il convient de replacer tout cela dans un contexte où l’accouchement à l’hôpital est la norme, le modèle technico-médical (versus le modèle de la sage-femme) est roi, dans une société encore patriarcale où on aime gérer, contrôler et taire les parturientes.
La situation est un peu différente en Finlande et en France. En Finlande, les Doulas sont connues et bien acceptées dans tous les hôpitaux. Elles font aussi partie d’une association: Suomen Doula Ry. Les choses s’organisent et j’ose espérer que prochainement les services des Doulas seront partiellement remboursés par la sécurité sociale et les assurances santé.
A savoir : une femme qui veut accoucher à la maison en Finlande doit payer l’intégralité des soins de sa poche (la sage-femme, la Doula, la location de la piscine.)
En France, les Doulas ont aussi leur association: Association des Doulas de France. Leur métier est un peu plus encadré qu’en Finlande mais nombreux sont les hôpitaux qui les refusent. Récemment, la maternité de Nanterre a pris le parti d’accueillir et travailler avec les Doulas membres de l’association. Un exemple à suivre !

Le Blog – Assurément, et pour le bénéfice de tous….

CB – La Doula est souvent comparée à la sage-femme, mais leurs rôles sont différents: la sage-femme est formée médicalement. Elle connaît la physiologie mais aussi la pathologie, elle examine et intervient en administrant des analgésiques, des hormones de synthèse ou autre.
La Doula est formé mais pas médicalement. Elle connaît la physiologie de la naissance mais ne peut intervenir médicalement parlant. Son principal rôle est d’être présente en permanence, contrairement à la sage-femme qui doit se partager entre plusieurs parturientes. Elle doit être à l’écoute et ne pas juger. Elle apporte son soutien et son savoir, inconditionnellement.
Les conjoints comprennent de plus en plus le rôle complémentaire de la Doula à leur égard : la Doula ne leur pique pas leur place mais les accompagne également. Elle les guide. Les conjoints apportent leur amour, leurs caresses et leurs mots doux. La Doula connaît le processus de la naissance et sa présence est calmante. Elle permet également aux conjoints de faire une sieste sans culpabilité lorsque la fatigue s’installe : dans les cas où le travail dure plus de 24h, ce relais humain n’est pas négligeable.
Un autre changement remarqué : au début il y avait uniquement des Doulas femmes. Le métier s’ouvre de plus en plus à d’autres genres.

Le Blog – Que souhaitez-vous partager de particulier avec nous ?

CB – Je souhaiterai insister sur le droit des patients et des parturientes: vous avez droit au respect, quels que soient votre sexe, vos préférences sexuelles, le genre auquel vous vous identifiez, votre couleur, votre origine, votre religion, votre langue, vos pathologies, votre historique médical, votre statut social, la taille de votre porte-monnaie…
Exigez le respect, l’écoute et le consentement.
Et si vous avez été victimes de violences, n’hésitez pas à en parler. Prenez soin de vous. Votre santé (mentale et physique) est une priorité. Chouchoutez-vous, pardonnez-vous, aimez-vous.

Le Blog – Et bien, merci beaucoup Chloé pour ce partage, j’espère qu’il va aider beaucoup de femmes, mais aussi d’hommes à vivre positivement ces différentes étapes de la vie……..et merci pour ce beau message final.

  • Vous pouvez  contacter Chloé Bernard en Finlande au + 358 40 145 9457 ou par courriel ilmatardoula@gmail.com
  • Et bien sûr allez visiter son site www.ilmatardoula.fi

 Brève Biographie :
– Birth Doula – Doulakka, Veera Gindonis, Helsinki 2017
– Gua Sha
– Kätilö, Kädet ja Sydän, Johanna Honkanen, Helsinki 2017
– Breastfeeding MOOC, coordinated by the lactarium of Necker Hospital in Paris, the GEN-IF (Francilian study group on neonatology) and the Parisian Perinatal Health Network, 2017
– Prenatal yoga & birth preparation
– Paramana Doula Course, Physiology and birth, Seminary (3 days), organised by the association Bien Naître, Marjorie Roux
– Paramana Doula, Michel Odent and Liliana Lammers, Issy-les-Moulineaux, 2018
– Birth, Trauma, Evolution – workshop (8h), organised by Viviane Lemaigre Dubreuil
– Spinning Babies® Workshop with Jennifer Walker (7h), organised by Kätilö, Kädet ja Sydän, Johanna Honkanen, Espoo 2019
– Postpartum workshop with Gabriela Ariana from Juurakon Voima, Vihti, May 2019
– Birth Doula – Certification course (250h) Doulakka, Veera Gindonis, Helsinki 2020

Découvrez aussi : Françoise Koltchak

Soupe-Repas de lentilles vertes

Ingrédients
– 1 tasse de lentilles vertes
– 6 petites pommes de terre
– 5 branches de céleri
– 1 gros oignon
– 3 gousses d’ail
– 2 cuillères à soupe d’huile de sésame de première pression à froid
– 2 cuillères à thé de curry
– poivre
– sel ou Miso

• Eplucher et couper l’oignon en fines lamelles et le faire revenir dans une casserole avec l’huile.
• Quand il est bien doré, ajouter l’ail haché.
• Ajouter le curry, le sel et le poivre, et faire cuire quelques minutes
• Ajouter les lentilles préalablement lavées, le céleri et faire revenir quelques minutes.
• Recouvrir avec de l’eau chaude.
• Ajouter les pommes de terre épluchées.
• Laisser cuire environ 45 minutes
• Ajouter de l’eau, si nécessaire, au cours de la cuisson.

Servir chaud.
Vous pouvez mettre du Miso pour saler à la place du sel.

Astuce : vous pouvez remplacer le céleri par 1 poireau.

Découvrez aussi : le Ragoût perse

Col en Laine Chenille bouclette !

Pour un col tout doux, très doux…

Fournitures
-1 pelote de 100 g = 1 col (environ 44m, 00 % Polyester)
– Aiguilles n° 10
– Boutons

Explications
Monter 11 mailles
– Tricoter au point mousse jusqu’à la fin de la pelote.
Rabattre.
– Coudre le bouton

Vous pouvez aussi assembler le début et la fin de l’ouvrage afin de faire un col à enfiler par la tête !

Voir aussi : L’Etole Dorée

Que faire en cas de Grippe, Pandémie……………..passage plus ou moins long à l´hôpital……..

La solution préconisée par la Naturopathie et la plupart des médecine douce est la prévention ………et la prévention c´est de renforcer son système immunitaire !

Pour cela on peut adopter différents comportement et les combiner :

– manger des fruits et des légumes à tous les repas, de l’ail, des poireaux…..anti-biotiques naturels
– ne pas consommer de sucre…….cela inclus toutes les céréales blanches,
– manger moins en quantité,

  • sortir au grand air, faire une marche dans la nature, du jardinage, du bricolage ou lire,
  • aérer toutes les pièces de votre maison, tous les jours (l’air est souvent plus pollué dedans que dehors)
  • se laver les mains régulièrement avec du savon de Marseille
  • se reposer et se relaxer à l’aide de la relaxation et de la méditation

 prendre des suppléments :
– de la Vitamine C non acidifiante
– de la vitamine D3
– du zinc
– des bactéries lactiques
– du macérat d’ églantier
– sans oublier l’incontournable chlorure de magnésium en préventif et en curatif !

Diffuser des Huiles essentielles comme le Ravensare Aromatique ou l’Eucalyptus radiata.

et puis des Fleurs de Bach :
 Mimulus pour les peurs connues
 Aspen pour les peurs inconnues

car la peur de la chose c’est la chose !

Très Beau Printemps

Créativité-Naturopathie, Le Blog