Où allons-nous ?

Qu’appelle-t-on « Les Nouveaux OGM » ?

On connaît bien les OGM issus de la transgenèse, auxquels nous avons dit non dans les années 2000….
Nous avons parlé de la 1ère et de la 2ème exception, mais il y a une troisième exception: celle des micro-organismes.
Un certain nombre de substances sont produites à partir de levures ou de bactéries GM et échappent aujourd’hui à l’étiquetage.

Mais la transgenèse consiste à insérer une séquence d’ADN d’un être vivant dans un autre être vivant en s’affranchissant de la reproduction sexuée. Cette méthode a choqué l’opinion, car elle permet de franchir la barrière des espèces, de mettre du poisson dans les fraises.

Mais les tout premiers OGM sont des plantes issues d’une autre forme de manipulation, la mutagenèse. Or s’il n’existe qu’une seule transgenèse, il existe plusieurs mutagenèses.
Depuis les années 1930, on fait de la mutagenèse in vivo, c’est-à-dire sur des éléments vivants (plantes ou graines entières), au moyen de la radiation nucléaire ou de produits chimiques. En gros on prend une graine et on la bombarde d’agents mutants extérieurs. Cela ressemble un peu à ce que fait la nature dans le sens où c’est le génome entier de la graine qui va devoir s’adapter à une pression extérieure.
C’est non naturel, mais on utilise les mécanismes du vivant, c’est pourquoi cette forme de mutagenèse a été exemptée de la directive européenne de 2001, qui s’est concentrée sur les OGM transgéniques.

À l’époque, il y avait déjà plus de 3 000 variétés de plantes mutées répertoriées et le législateur trouvait trop compliqué de les évaluer, étiqueter, autoriser…...

Il a préféré les exempter en utilisant cette formule : « il y a une historicité d’utilisation sans risque » de la mutagenèse in vivo. Cette absence de risque est supposée, voire incantatoire car aucune évaluation n’a été faite. La vraie raison de cette exemption est économique et technique. On devine qu’il existe aujourd’hui un autre type de mutagenèse……
Dans les années 2000, les laboratoires ont commencé à faire de la mutagenèse in vitro sur cellules isolées. On est ici beaucoup plus proche de la transgenèse. On découpe le vivant en rondelles, on extrait des cellules qui ne peuvent se reproduire par elles-mêmes et on régénère des plantes à partir de ces cellules en utilisant des hormones.
Toutes ces étapes connexes à la mutagenèse en tant que telle modifient le vivant et peuvent avoir des effets sanitaires et environnementaux non désirés.
En juillet 2018, la Cour de Justice de l’UE a arrêté que les produits issus des nouvelles techniques de mutagenèse devaient être réglementés comme ceux issus de la transgenèse.

Depuis, c’est le branle-bas de combat chez les industriels, les semenciers et les politiques pour casser cette décision susceptible de donner un coup d’arrêt à leurs nouveaux OGM.

L’enjeu est énorme ! Normalement, un arrêt est d’application immédiate.
Or on sait que l’ensemble de l’UE cultive des OGM issus de la mutagenèse moderne.
Une transparence est indispensable, mais pour l’instant c’est l’omerta la plus totale.

Quels sont les dangers des OGM pour l’agriculture bio ?
Si les OGM se répandent, les semences paysannes seront contaminées et finiront par être brevetées. Tout le travail du paysan peut être mis à terre si la variété qu’il utilise est contaminée. C’est ce qui s’est passé au Guatemala et au Mexique.

Que peut-on faire ?
Manger bio ! Choisir des AOC ou des IGP qui refusent les OGM dans leur cahier des charges et lire le journal d’Inf’OGM pour se tenir informé.

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Où en sommes-nous ?

Le débat paraît ancien, voire dépassé : Les Organismes Génétiquement Modifiés, on a dit NON il y a vingt ans.

Alors pourquoi en reparler ?

La définition européenne d’un OGM est : « Organisme, à l’exception des être humains, dont le matériel génétique a été modifié d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle. » (Directive 2001/18)
Cela englobe plusieurs techniques de modification: la Transgenèse, mais pas seulement.

Les OGM les plus répandus sont le Soja, le Maïs, le Coton et le Colza.

Ils représentent 98 % ds OGM transgéniques cultivés dans le monde.
85 % des OGM transgéniques sont produits en Amérique du Nord et Latine, principalement par les Etats-Unis, le Brésil, l’Argentine et le Canada. L’Amérique Latine est complètement contaminée par les OGM : en Uruguay et au Paraguay 100 % du soja est transgénique. Sans oublier les maladies ds populations proches des champs où le soja transgénique est cultivé.
Sur le coton, on trouve la Chine et l’Inde (95 % des surfaces de coton sont en OGM). Sans oublier le suicides des cultivateurs de coton, un autre problème provoqué par les OGM.
Au total, 28 pays cultivent des OGM, dont certains sur de très petites surfaces, comme le Bangladesh qui cultive quelques centaines d’hectares d’aubergines transgéniques.

Historiquement, c’est la recherche publique qui a mis au oint les OGM dans les années 1980, Mais ce sont depuis longtemps les semenciers privés qui gèrent la question : Bayer-Monsanto, Syngenta-ChemChina, Dow-Dupond. Ce sont des chimistes, les mêmes qui ont mis sur le marché les herbicides et les pesticides.

Comment savoir si je mange des OGM ?
Il existe plusieurs législations au niveau mondial. L’Union Européenne dispose de la plus intéressante : tous les végétaux transgéniques doivent être étiquetés.L’UE ne produit pas d’OGM mais elle en import, principalement le soja et le coton. Le soja importé sert à nourrir le bétail. Un éleveur peut savoir qu’il nourrit son bétail avec un soja transgénique, mais pas le consommateur puisque le loi européenne exempte d’étiquetage les produits issus d’animaux nourris aux OGM.

On en mange donc pas directement de soja transgénique, mais on le consomme à travers les animaux ! Une autre grande exception, est la restauration collective, à laquelle l’Europe n’impose aucun devoir de transparence.

Comment justifier ces exemptions d’étiquetage ?
Si le consommateur voit marqué OGM, il boycotte !
En Europe on a fixé un seuil de tolérance à 0,9 %par ingrédient, quel que soit le poids de cet ingrédient dans la composition du produit. Et depuis la mise en place de l’étiquetage pour les végétaux on ne retrouve quasiment plus de tels produits dans les étals…..

Mais la viande issue d’animaux aux OGM reste très largement rependue incognito.

Un aliment bio, est-il forcement sans OGM ?
OUI : la philosophie de l’agriculture bio est contraire à celle des biotechnologies. Il existe une tolérance de 0,9 % par ingrédient qui a été récemment rajoutée au règlement bio. Elle a été réclamée par la filière bio canadienne, confrontée à des problèmes de contamination sur le colza.

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Echarpe Fils Cora

Dimensions : 150 x 20 cm

Fournitures
– Fil Cora 100% acrylique 200g (50g → 40m)
– Aiguilles n° 10

 

Détails techniques

Point jersey
Maille lisière comme suit :
1 maille envers sur les rangs en maille endroit
1 maille endroit sur les rangs en maille envers

 

Le conseil de la Naturopathe :
Afin de ne pas avoir mal aux bras, dos et cou penser à prendre une bonne position pour travailler avec les aiguilles rondes.
Garder votre dos droit et poser vos avant-bras sur une table ou un coussin, garder les coudes près du corps, et surtout faites
quelques mouvements et étirements de temps en temps.

 

Echarpe

Monter 18 mailles
– Tricoter un rang en mailles endroit sans maille lisière
– Tricoter un rang en mailles envers sans maille lisière
– Ensuite tricoter en Jersey avec une maille lisière en début de chaque rang
– Tricoter un rang envers sans maille lisière
– Tricoter un rang endroit sans maille lisière
Rabattre
– Rentrer les fils

 

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La cuisine 

Priorité aux produits non transformés et bios !
Pesticides, métaux lourds, bisphénol A, phtalates, additifs, conservateurs et arômes artificiels contaminent de nombreux aliments.
Or, ces substances chimiques exposent les consommateurs à des intoxications chroniques par des contacts répétés et croisées, facteurs potentiels de cancers, maladies neurodégénératives, respiratoires ou métaboliques et d’infertilité.

Les Bonnes attitudes

Limiter les apports en additifs en consommant des produits bruts, frais, le moins transformé possible.
• Car les sols sont plus contrôlés en agriculture biologique qu’en agriculture conventionnelle ; privilégier le bio pour tout, dans tous les cas pour tout ce qui ne s’épluche pas et bien éplucher le reste, en particulier les pommes, les poires et les pêches…
3,77 résidus de pesticides en moyenne dans 31 échantillons de salades testées et même du DDT dans 2 d’entre elles.
Ne pas manger le gras de la viande et peu de charcuterie et de poissons carnassiers, aliments les plus contaminés par les dioxines, PCB et métaux.

Ustensiles et emballages : sus aux plastiques !
Le plastique des récipients, ustensiles et emballages peut renfermer du bisphénol A (BPA), des phtalates, de la mélamine ou du formaldéhyde, PE qui peuvent migrer vers les aliments sous l’effet de la chaleur.
Le polytétrafluoroéthylène (PTFE) et l’acide perfluoro-octanoïque (PFOA) dans le revêtement antiadhésif des poêles et casseroles sont toxiques à forte chaleur.
Méfiance également vis-à-vis des moules en silicone, à la composition mal connue.
L’aluminium est suspecté de nuire au système neurologique et de provoquer des inflammations intestinales. En présence d’aliment acide ou salés, les contenants en alu peuvent en relâcher des quantités non négligeables.

Les Bonnes attitudes

Ne pas chauffer les plastiques alimentaires, en particulier au micro-onde, y compris les étirables qui ne doivent pas rentrer en contacte avec les corps gras.
Bannir les aliments ayant longtemps séjourné dans du plastique, des boîtes de conserves et des canettes tapissées d’epoxy pouvant contenir du bisphénol A.
Eviter les plastiques marqués d’un triangle en relief avec le chiffre 7, 6 ou 3.
Conserver les aliments nature ou cuisinés, dans des récipients en verre, céramique, en fonte ou en inox.
Privilégier les poêles et casseroles sans revêtement antiadhésif, quitte à cuisiner avec un filet d’huile.
Eviter la cuisson d’aliments très acides ou salés dans des récipients ou du papier à base d’aluminium.
Eviter le papier de cuisson enduit de silicone.

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L’Ovo-lacto végétarisme permet de manger des œufs, des produits laitiers et des végétaux.

Le Végétarisme consiste à exclure la chair animale (viandes et poisson) de son alimentation.

Le Pesco-végétarisme supprime la consommation de viande, mais autorise la chair des poissons, ds crustacés et des mollusques, en privilégiant une production et un élevage respectueux.

Le Flexitarisme autorise occasionnellement de la viande ou du poisson en privilégiant des modes de productions et d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.

Le Végétalisme interdit l’ensemble des produits d’origine animale, la chair mais aussi les produits de l’animal comme les œufs, les produits laitiers et le miel…….

Le Véganisme repose sur un choix de vie qui refuse la souffrance et l’exploitation animale, dans l’alimentation, mais aussi dans la consommation de produits vestimentaires, cosmétiques et les loisirs.

Le Macrobiotisme quant à lui, est fondé sur une alimentation frugale à base de céréales et d’un équilibre entre le Yin et le Yang.

Le Crudivorisme ou alimentation vivante consiste à se nourrir exclusivement d’aliments crus ou cuit à très basse température.

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Petite Carte Brodée pour Bébés

Fournitures
• Toile Aïda 8 x 5 cm environ
• Coton mouliné à six brins, un écheveau dans les coloris suivants : bleu clair, marron clair, noir, rouge et jaune
• aiguille à broder
• papier bristol pour faire une carte

Exécution de la broderie

Déterminez le centre de l’ouvrage en pliant la toile en quatre, puis matérialisez les deux pliures perpendiculaires par quelques points avant.
Vous travaillerez par-dessus ces lignes et les retirerez à la fin.
Tracez-les sur le dessin en reliant les flèches entre elles.
Chaque carré du dessin correspond à un point sur la toile.

Pour les couleurs, reportez-vous au diagramme.
Avec 2 brins de coton mouliné, commencez par le centre du motif (tête en marron) au Point de Croix, ensuite le corps de l’ourson, le ballon, le rebord de la fenêtre.
Terminez par le serre-volant en jaune et rouge.
Au Point Arrière, avec un brin de coton, brodez une ligne de noir pour la bouche de l’ours, la corde et les détails du cerf volant. Les papillotes du cerf-volant sont formées de Points Droits jaune et rouge.

Repassez la broderie à l’envers, sur une surface molletonnée.

Dans du bristol, couper une carte de 27 x 12 cm.
La plier en 3 morceaux égaux.
Dans le panneau du milieu découper une fenêtre ovale ou rectangulaire.
Placer la broderie dans cette fenêtre et collez-la avec de la colle à tissu ou du ruban adhésif double face.
Rabattre le volet gauche par-dessus et le fixer avec de la colle.
Votre carte est prête.

Autres broderies :

 

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Petits gestes pour grands changements dans ma cuisine……

Ces petits riens qui changent tout, pour la planète mais aussi pour votre budget et votre santé.

Ne plus acheter de bouteilles d’eau
Le saviez-vous ? Il faut 1,5 litre d’eau pour fabriquer une bouteille en plastique de 1 litre, soit une consommation de 2,5 litres d’eau au total !
On zappe cet achat inutile et on passe à l’eau du robinet, filtrée avec un filtre à osmose inverse ou à défaut une carafe filtrante.

Conserver ses aliments dans des bocaux en verre
En plus d’être esthétique et saine, cette solution permet de limiter sa consommation d’emballages en passant à l’achat en vrac.

Mieux gérer ses déchets
Pour cela, pas de secret mais deux étapes à suivre :
1- Bien respecter les règles du tri sélectif
2- Investir, quand c’est possible, dans un composteur. Il existe même des modèles de cuisine !

Arrêter les Essuie-tout et les serviettes en papier
Essuie-tout et serviettes en papiers sont dans la liste des habitudes de consommation purement marketing et aussi mauvaise pour la planète que pour le budget de la famille. Car quoi de mieux pour essuyer qu’une éponge ou un tawashi.
Pour le ménage et les repas, on revient aux bonnes vieilles habitudes en utilisant des torchons et des serviettes en tissu.

Faire son propre produit vaisselle
Ce n’est pas si compliqué que cela ! (500ml d’eau chaude, 2 ou 3 cuillères à soupe de savon noir, 20g d’huile essentielle de citron, 2 cuillères à soupe de cristaux de soude et 2 cuillères à soupe de vinaigre blanc)

Remplacer son éponge par un tawashi
Cette éponge japonaise peut être fabriquée à base de tissus recyclés et lavée en machine.

Troquer son détergent habituel pour une recette plus naturelle
Le bicarbonate de soude, le vinaigre blanc et le savon noir : un trio capable à lui seul de nettoyer efficacement toute la cuisine, du frigo au carrelage en passant par le lavabo. Votre santé et votre porte-monnaie vous remercieront.

Voici de bonnes résolutions à mettre en place au cours de l’été.

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L’Amande

Histoire :
Fruit de l’amandier, arbre qui serait originaire d’Asie et d’Afrique du Nord, l’Amande est appréciée depuis la plus haute Antiquité. Des vestiges datant du temps des Assyriens et de la Perse ancienne démontrent l’existence de la culture de l’amande. On la mentionne dans les écrits anciens, notamment la Bible. Il semble que les Grecs furent les premiers à la cultiver ; les Romains nommeront d’ailleurs l’amande la « noix grecque ». Elle servait autant à des fins alimentaires que médicales.
L’amandier mesure généralement de 6 à 9 mètres de haut. Très sensible au froid, il pousse dans les régions au climat méditerranéen. Il est cultivé en Europe, mais aussi en Amérique du Sud, en Californie et en Australie.
L’amande est composée d’une graine ovale (amande) de couleur blanchâtre. Cette graine, recouverte d’une mince pellicule brunâtre, est nichée dans une coque plus ou moins dure selon les variétés. Cette coque est couverte d’une enveloppe fibreuse et coriace (le brou), de couleur verte, qui éclate à maturité. Habituellement seule dans sa coque, l’amande peut avoir une sœur jumelle, on parle alors d’amandes philippines.
Les amandes se divisent en 2 groupes :
L’amande amère, qui sert à faire une huile incolore ou des liqueurs, telle l’amaretto.
L’amande douce, que l’on consomme habituellement séchée, mais elle est comestible fraîche lorsqu’elle est de couleur verte et que sa coque est ferme mais encore tendre.

Utilisation :
La saveur douce de l’amande va avec presque tous les aliments……..sucré ou salé.
L’amande est un encas idéal : une poignée d’amande quand on a un petit creux en milieu de journée vous rassasiera et comblera vos besoins journaliers en calcium.

Conservation :
6 mois au réfrigérateur si elles sont décortiquées.
Elles se congèlent très bien.

Valeur nutritive :
Les matières grasses de l’amande sont composées à 86 % d’acides non saturés.
C’est une excellente source de magnésium et potassium et une bonne source de phosphore, calcium, zinc, cuivre, fer…..

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Ma trousse à crayon personnalisée

Fournitures
– un morceau de tissu d’ameublement ou de tissu épais
– un morceau de cordon de 30 m
– fil, ciseaux, machine à coudre….
– fer à repasser

Réalisation
– Couper 2 morceaux de tissu de 26 x 11 cm
– Pier au fer à repasser sur 1 cm les 2 hauteurs des 2 tissus
– Faire un ourlet de 1,5 cm sur le côté restant et le coudre à la machine, sur les 2 morceaux de tissu.
– Passer le cordon dans les ourlets et le faire sortir de quelques millimètres les bouts sur l’un des côtés du tissu.
– Mettre à plat endroit contre endroit
– Epingler les 3 côtés.
– Faire une couture sur les 3 côtés en cousant le cordon du côté où il sort de quelques millimètres, mais en vous arrêtant au niveau de l’ourlet de l’autre côté afin de laisser le cordon libre.
C’est en coulissant le tissu sur le cordon que vous pourrez ouvrir ou fermer votre trousse !
Faîtes un nœud pour tenir votre trousse fermée.

Astuce : Vous pouvez faire un arrondi comme sur la photo !

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J’aime bien travailler avec les livres de S. Sellam sur moi et sur certains de mes clients ; on fait des découvertes passionnantes…….. vous pouvez faire une grande partie du travail seul en lisant le livre et en mettant en pratique les explications…… ensuite quelques entrevues avec un professionnel permettront de délier les fils invisibles les plus sensibles.

Voici de quoi parle le livre :

Coup de foudre avec ou sans électricité, amours fous, âmes sœurs, attirances, répulsions, séparations, divorces, relations plus ou moins tumultueuses, adultères, dynamique complémentaire dans le couple, diminution de la fréquence des rapports sexuels : voici les motifs de consultation qui ont conduit à la mise en évidence de la Psychologie Transgénérationnelle.

La psychologie transgénérationnelle est une découverte empirique issue de la recherche clinique et vérifiée par une multitude de cas dont certains exposés dans cet ouvrage. Cette nouvelle manière pratique d’aborder la dynamique psychologique en chacun de nous permet de voir beaucoup plus simplement le fonctionnement de l’inconscient, mis à la portée de tous, tant particuliers que praticiens. Comme elle le fait déjà, elle va sans doute révolutionner la psychologie et la rendre plus abordable. Dans cet ouvrage, l’auteur vous propose une méthode simple et rapidement applicable à votre histoire.

Ainsi, par une simple comparaison des prénoms et des dates inscrites sur l’arbre généalogique, elle met en évidence la place inconsciente de l’adulte/ex-enfant au sein de sa famille. Elle permet ainsi de cibler rapidement ses propres identifications parentales infantiles à l’origine de la constitution de son  » cahier des charges de reconnaissance amoureuse» représentant la base des futures rencontres avec ses partenaires. Dans de nombreux cas, un inceste symbolique s’installe progressivement et se traduit par une diminution, voire une raréfaction des rapports affectifs et… sexuels pouvant expliquer certains désordres amoureux.

 

Salomon Sellam est docteur en médecine, psychosomaticien et chercheur clinicien. Il est également formateur et conférencier en France et à l’Etranger. Il est l’auteur du « Syndrome du Gisant ».

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