La pratique de la méditation est passée d’une mode à un art de vivre.
Aujourd’hui on médite seul, en groupe (même à distance) ou en couple. Une étude qui avait été menée en 1997 en Allemagne, à l’université de Kassel de Witzenhause, avait montré que de la lumière visible était émise à partir de la région thoracique quand une personne était en méditation.
Alors que 20 photons par seconde avait été observé dans le cas d’une posture neutre (sans méditer), 100 000 photons (5000 fois plus) par seconde avaient été mesurés dans le cas d’une méditation centrée sur le cœur.
Les chercheurs ont utilisé un tube (EMI Type 9635 QA) afin de compter les photons. Le logiciel et le matériel utilisé pour cette étude avaient été conçus spécialement par ALV-Laser de la ville de Langen.
Pour l’expérience, une chambre noire de la taille d’un placard, avait été recouverte entièrement d’un revêtement spécifique afin d’absorber la lumière. Winfried Fuchshofen, (candidat au doctorat à l’Université de Kassel à l’époque), avait mis en place le système de comptage de photons pour faire une expérience avec Puran Bair, le co-fondateur de l’Institut de Méditation Appliquée.
Une heure a été nécessaire pour dissiper la fluorescence du corps qui émettait la lumière qu’il avait absorbée à l’extérieur de la chambre. Pour ne pas mesurer la fluorescence des tissus et les décharges d’électricité statique, il fallait que le méditant soit, de préférence, nu.
Après une heure de mesures, l’ordinateur avait mis en évidence 20 photons/seconde que la personne soit nue ou couverte. A partir d’une heure, le méditant a commencé une série de pratiques méditatives pour augmenter son énergie dans la colonne vertébrale et au niveau du cœur.
Ces méditations comprenaient les pratiques de la méditation kundalini, des méditations soufies . 37 000 à 45 000 photons/seconde ont été comptés pendant la méditation. Après 10 heures de mesures, même si les résultats n’étaient pas toujours les mêmes, les méditations avaient toutes permis de constater, à certains moments, de la lumière sortant du corps du méditant.
« L’Amour est plus fort que tout » semble s’expliquer scientifiquement. Le lendemain matin après les premières mesures, le fils de 4 ans de Winfried Fuchshofen avait pris froid. Puran Bair avait alors proposé de l’intégrer à l’expérience : il a voulu méditer pour le jeune garçon et lui aurait » envoyé de la lumière » à partir de son cœur avec la technique de méditation appelée « rythme cardiaque.
L’effort du méditant fût moins excessif que pendant les concentrations de la veille. Cependant, malgré un effort moins intense, l’ordinateur a mesuré 100 000 photons/seconde et ce, de façon constante pendant toute la méditation (environ 30 minutes). L’énergie (du cœur) déployée semblait être décuplée dans le cas d’une méditation d’aide à l’autre.
Cela pourrait expliquer pourquoi on se sent mieux après une séance de soin énergétique. Les personnes prétendant « voir » l’aura ont peut-être la capacité d’observer la lumière de façon plus fine. À partir de 100 000 photons/seconde, la lumière serait visible par l’œil humain. On a même estimé que 1000 photons/seconde qui entrent dans un œil sont suffisants pour voir de la lumière, aussi subtile soit-elle.
Une image vaut mille mots
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